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Cette dernière recommandation d’un spectateur de Radio-Erdorin est un peu différente. Omnio, de In the Woods…, date de 1997 et je ne l’ai pas trop aimé.
Un groupe de scientifiques part explorer une planète avec un cyborg de sécurité défectueux: il est doté d’une conscience et s’est auto-baptisé Murderbot.
La principale raison pour laquelle j’ai écouté l’album The Book of Hours de Agropelter, c’est parce qu’il a apparu sur mon flux RSS au moment où je faisais mes achats.
« On a toujours fait comme ça » est la phrase la plus dangereuse du monde. Ce n’est pas la protagoniste de C’est-comme-ça, d’Auriane Velten, qui dira le contraire.
Ma petite communauté de Radio-Erdorin semble avoir des goûts plutôt sûrs, par exemple Awaken the Endless Deep, un concept-album signé Haishen.
Si je vous dis « metal symphonique », vous allez lorgner vers les pays nordiques. Eh bien dans le cas de Ad Infinitum et leur album, Abyss, c’est moins loin de chez moi.
Dans ma chronique du précédent tome d’Empowered, je disais que c’était moins sexe qu’avant. Eh bien, disons que ce douzième volume corrige le tir.
Parmi le milliard de recommandations que les commentateurs ont laissé sur mes vidéos, je suis tombé, un peu à sec, sur Rift in Reality, de Labyrinthus Stellarum.
Je me suis mis au livestream de façon régulière, le vendredi pour parler musique et le jeudi pour d’autres sujets, et en multistream sur YouTube, Twitch et Peertube.
J’ai parfois l’impression qu’à chaque fois que je pense avoir le bazar sous contrôle, il y a un nouveau glitch qui déboule dans le tournage des épisodes de Radio-Erdorin.
Ressortez vos plus beaux costumes de Renfaire: Wytch Hazel est de retour avec son rétro-classic-hard-rock médiévaliste et un album intitulé V: Lamentations.
Ils étaient soldats, ils sont devenus restaurateurs, les voici fugitifs à bord d’un vaisseau spatial vivant. Bienvenue dans You Sexy Thing, de Cat Rambo!
Il y a des fois où j’ai envie de hurler ma rage face à la fin inéluctable de toutes choses. Mais je me contente d’albums comme Dust Eater, de Dimscûa.
En juillet 2025, l’actualité a été mouvementée dans le domaine du mécénat et du financement participatif et j’en parlerai un peu ici, même si ce n’est pas le sujet premier.
J’arrive au bout de la pile de CD acquis à Paris et je conclus sur un album plutôt impressionnant dans le genre prog-metal full patate: Helios, de Spheres.
Itch.io a annoncé une nouvelle politique visant à réduire la visibilité (lire: complètement invisibiliser) les contenus « adultes ». Oui, encore!
Aspiral, c’est le nouvel album d’Epica, que certains avaient décrit comme différent des précédents. Sauf que non. Mais ce n’est pas forcément un mal.
Encore un album ramassé un peu au pif à Paris et qui a été chroniqué par les suspects habituels: Shells, par Everon. Pas que je me plaigne: il est plutôt sympa.
Le Alias est ainsi fait que, quand on lui vend de la science-fiction en rapport avec la musique, il craque facilement. Ainsi, j’ai récupéré le recueil Nouvelles sonorités.
Dans la foulée de sa dernière tournée, Haken nous propose un petit album live, à la bonne franquette – un triple CD, intitulé Liveforms.