Sylvan: One to Zero
Sylvan n’est pas le groupe le plus innovant de la progosphère. Mais, avec One to Zero, ils prouvent que ça ne les empêche pas de faire des bons albums.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Sylvan n’est pas le groupe le plus innovant de la progosphère. Mais, avec One to Zero, ils prouvent que ça ne les empêche pas de faire des bons albums.
Metamorphosis, de The Circle, est un EP avec des grandes ambitions. Il allie death, black, doom et – allez, soyons fous! – prog-metal.
Je découvre Empyrium avec leur nouvel album, Über den Sternen et j’imagine que les gens qui s’y connaissent en folk-metal vont rouler des yeux très fort.
Si j’avais trouvé alambiqué le nom du précédent album de The Ocean, ce n’était rien à côté de ce Phanerozoic II: Mesozoic | Cenozoic.
Ce nouvel album de Secrets of the Moon, Black House, me rappelle ma période goth (Sisters of Mercy, Fields of the Nephilim) et aussi The Cult.
Après le live STUMMFILM, revoici Long Distance Calling avec un nouvel album de post-rock, How Do We Want to Live?, un titre qui résonne avec l’actualité.
Oui, STUMMFILM, tout en majuscule. C’est le titre de l’album live de Long Distance Calling et j’aime autant vous dire qu’il mérite ses majuscules.
J’ai tardé à chroniquer le troisième et dernier tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb. Une première lecture m’avait laissé perplexe.
Ivory Tower est un groupe allemand de metal progressif et il a fallu que Angry Metal Guy chronique leur dernier album, Stronger, pour que je m’y plonge.
Thoughts Factory est un groupe allemand de metal progressif qui vient de sortir Elements et que j’ai découvert via une chronique de Angry Metal Guy.
Bon, derniers « restes du samedi » pour 2019, vu que c’est littéralement le dernier samedi de 2019. Trois albums que j’aurais pu chroniquer, mais…
Renegades, le nouvel album d’Equilibrium, illustre une tendance que j’ai constatée ces derniers temps: le metal commence à lorgner vers la pop.
The Liberation, le nouvel album de Disillusion, est un peu différent des clichés death-metal progressif, façon horreur cosmique ultratechnique.
On ne pourra pas reprocher à Blind Guardian de ne pas tenter des trucs, mais ce Legacy of the Dark Lands me laisse quelque peu perplexe.
Il y a peu, je vous parlais de Dreamgrave, un groupe qui mélangeait rock et metal progressifs. Ysma est un groupe allemand qui a aussi tendance à rajouter beaucoup de rock progressif dans son metal instrumental. Pour preuve cet album, Memoirs in Monochrome.
Dream Theater qui passe en concert à Guitare en Scène, littéralement à cinq bornes de chez moi? C’est le genre d’occasion où je ne réfléchis même pas et j’achète le billet tout de suite.
Nouvelle semaine, nouveau concert. C’est sous une pluie battante que je débarque à l’Usine de Genève ce jeudi soir. La raison ? Rien de moins que The Ocean en concert.
Alors, pour une fois, la découverte de Ethic of Radical Finitude, du groupe allemand de post-metal Downfall of Gaia, n’est pas inspirée par une chronique de Angry Metal Guy. J’entends par là que si j’ai effectivement bien vu passer ladite chronique dans mes flux, je m’intéresse à ce groupe surtout parce qu’il va faire la première partie de The Ocean demain.
Parmi les bonnes nouvelles musicales de 2018, il y a le retour de The Ocean. Et parmi les excellentes nouvelles musicales de 2018, il y a ce nouvel album, au titre particulièrement alambiqué, Phanerozoic I: Palaeozoic.
Avec l’âge, je me méfie un peu des nouveaux albums de post-rock. Non qu’ils aient tendance à être mauvais, mais ils ont surtout tendance à se ressembler. Témoin … and who will take vare of you now de Magma Waves, pourtant recommandé par Angry Metal Guy.