Cher Amaranthe,
La dernière fois qu’on s’était parlé – enfin, que je t’avais écrit – c’était pour ton premier album éponyme. Aujourd’hui, tu sors The Nexus et je me retrouve de nouveau perplexifié, mais pas pour les mêmes raisons.
Ton métal à chanteuse a, disons, évolué. Mais pas dans une direction que je qualifierai de “bonne”, vu que tu lorgnes plus sur la grosse électro-pop qui tabasse, voire le Rihanna de gouttière, que vers un métal symphonico-progressif qui aurait ma préférence.