sleepmakeswaves: these are not our dreams
Donc, sleepmakeswaves est un groupe de post-rock qui vient de sortir these are not our dreams. Un album qui est en fait une trilogie d’EP.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Donc, sleepmakeswaves est un groupe de post-rock qui vient de sortir these are not our dreams. Un album qui est en fait une trilogie d’EP.
Les Australiens, c’est pas des gens comme nous, suite! Si vous ne me croyez pas, écoutez donc Toehider et son nouvel album, I Like It!.
Les Australiens ne font jamais les choses comme tout le monde. Ainsi, Dead Elysium de Vanishing Point fait du power-prog sans emphase.
Je maintiens ici qu’il existe une école de metal progressif spécifique à l’Australie. Preuve en est Ebonivory et son nouvel album, The Long Dream I.
Les Australiens de Caligula’s Horse se sont imposés comme un des symboles d’un certain renouveau de la scène prog. Ils reviennent avec Rise Radiant.
Triumph & Distaster, du groupe australien We Lost the Sea, est une variation “classique” du post-rock, plus dans le style de ce qui se fait aujourd’hui.
Après l’exceptionnel Ghost Mile, le nouvel album de Voyager, Colours in the Sun, allait-il, à l’image de leur metal progressif survitaminé, rebondir?
Il y a deux jours, je vous parlais du metal progressif australien. OK, je vous en ai parlé souvent. Ça ne va pas s’arranger avec Map of Broken Dreams, le premier album de Great Leap Skyward, recommandé (OK, il y a un an) par Neoprog.
Yo, les vieux rôlistes! Dead Can Dance est de retour et, avec ce nouvel album Dionysus, vous allez enfin avoir du nouveau matos pour sonoriser vos parties! Ou pas.
Pour ces Restes du samedi de fin d’année, je vous propose un trio d’albums courts venus d’horizons divers: folk-rock alternatif avec Calaveyre, metal progressif expérimental avec Oh et guitar-hero prog avec Plini. Et en prime, un mini-tour du monde, qui part de la Bretagne pour aller en Australie via la Grèce.
Quand je vous dis que le KiFF d’Aarau est une salle qui commence solidement à s’imposer dans le domaine du prog en Suisse: ce vendredi, s’y produisaient trois formations majeures de la scène contemporaine: Plini, Between the Buried and Me, et TesseracT. Oui, rien que ça!
Je crois qu’à l’instar d’Angry Metal Guy – oui, j’aime beaucoup ce site – je vais lancer le terme “leprouscore” au vu de la masse de groupes qui se lancent dans un rock progressif moderne et teinté de metal sur le modèle des Norvégiens. Dernier avatar en date, et non des moindres, Caligula’s Horse et leur dernier album en date, In Contact.
Ce week-end avait lieu à Toulouse le premier Very Prog Festival, deux jours consacrés au metal progressif sous toutes ses formes avec un programmation impressionnante: Caligula’s Horse et Sons of Apollo en têtes d’affiche, plus Persefone et DGM – et bien d’autres.
Cette chronique de “GOOD”, de Toehider, se doit de commencer par des plates excuses publiques à Gordon, mastonaute (entre autres) qui m’a signalé l’existence de ce groupe il y a très longtemps – mais toujours à un moment où j’avais une liste de lecture en surcharge. Il m’a donc fallu beaucoup (= trop) de temps pour finalement y jeter une oreille et c’était une erreur. Le temps, pas d’y jeter une oreille, donc.
Dernier opus de notre série mélodeath, voici Urn, le nouvel album de Ne Obliviscaris. Il y a une raison pour laquelle j’en parle en dernier: c’est du metal progressif brutal, du secoué de première force!
Après moult délibérations avec moi-même, j’ai décidé, pour l’année 2017, d’accorder la modérément prestigieuse récompense de “mon album de l’année” à Ghost Mile, de Voyager – à la fois pour l’album et pour leur prestation live à Zoug. La décision a été un peu difficile en l’absence d’un vrai coup de cœur, mais j’ai vraiment apprécié la fraîcheur de ce metal progressif mâtiné du meilleur du Hard-FM, accessible et complexe à la fois.
Samedi, 8 h du matin. J’ai encore dans les oreilles le concert de la veille avec Nubia, Voyager et Uneven Structure au Industrie 45 de Zoug.
Il y a des groupes dont on n’attend pas forcément des merveilles et qui parviennent à vous surprendre. Ghost Mile, du groupe de metal progressif australien Voyager, fait partie de ces surprises – pas tant par son originalité, mais par sa qualité globale.
Un jour, j’écrirai un article sur la difficulté d’écrire des chroniques sur des albums qui se résument à “c’est bien, mais c’est juste bien” et je l’illustrerais notamment avec ce nouvel album de sleepmakeswaves, Made of Breath Only. Vous me direz que c’est aussi à cela que sert ma rubrique “les restes du samedi“, ce qui n’est pas faux.
Quatrième groupe présent à Aarau vendredi prochain, voici Plini. Il faut dire ce qui est: le visuel de ce Handmade Cities, dans un style surréaliste-WTF rétro-postmoderne, est un très bon indicateur du genre de musique que le sieur Plini nous propose: un prog moderne, instrumental, avec un côté “Satriani plus les psychotropes”.