Big Big Train: English Electric, Part Two

Bref billet pour vous signaler la sortie de English Electric, part two, la suite du précédent album signé Big Big Train, le groupe de rock progressif britannique qui a décidé d’être plus Genesis que Genesis (et pourtant, il y a de la concurrence).

Je serai bref, parce qu’à peu près tout ce que j’ai pu dire sur le premier album s’applique également au second (y compris la blague sur Philip Glass). C’est du rétro-progressif à la façon de Genesis, modernisé et très bien fait, mais du rétro-progressif quand même.

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Big Big Train: English Electric, Part One

Parmi le loot ramené de Paris et, plus précisément, de chez Gibert, il y a ce English Electric, Part One de Big Big Train, qui prouve une fois pour toute à quel point je suis à l’avant-garde, car non seulement c’est du rétro-progressif à la Genesis, mais en plus, la deuxième partie sort ces jours-ci.

Bon, je ne vais pas vous répéter le refrain habituel sur le rétro-progressif en général et les clones modernisés de Genesis en particulier; à force, ça devient aussi répétitif qu’un album de Philip Glass.

(À ce sujet, petit blague débile: c’est Philip Glass qui rentre dans un bar. Philip Glass rentre dans un bar. Philip Glass rentre dans un bar. Philip Glass.)

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Big Big Train: The Underfall Yard

Dans la grande et longue série des noms de groupes débiles, il est difficile de trouver des concurrents de la trempe de Big Big Train, groupe de rock progressif anglais. Comme c’est assez mesquin de se moquer du nom des gens et des groupes, surtout quand on a un patronyme comme le mien, je vais arrêter là et m’intéresser plutôt au contenu de leur nouvel album, The Underfall Yard.