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Le mantra « pas de claviers » des groupes de black-metal des années nonante n’a aucune prise sur Eminentia Tenebris et cet album, Whispers of the Undying.
Les concept albums de science-fiction semblent avoir la cote: The Jaunt, de Ophelion, est l’adaptation prog-metal d’une nouvelle de Stephen King.
Ma petite communauté de Radio-Erdorin semble avoir des goûts plutôt sûrs, par exemple Awaken the Endless Deep, un concept-album signé Haishen.
La synthwave, vous connaissez? Eh bien Street Krvzader, de Dav Dralleon, c’est ça, mais avec tous les potards de l’agression poussés à coin, voire plus.
C’est souvent avec appréhension que j’entreprends l’écoute d’albums-événements, comme The Overview, le nouvel opus de Steven Wilson.
J’ai enfin pu écouter Imminent End, le nouvel album de DarkFlow, grâce à un service presse du groupe. Un album impressionnant, qui rappelle les années huitante.
En Italie, il est impossible de lancer un caillou sans toucher un groupe de power-metal symphonique, comme Ancient Bards, qui a sorti un nouvel album, Artifex.
Imaginaerium revient et remonte le temps pour nous plonger dans l’Angleterre du premier siècle, avec Siege, un concept album autour de la reine Boudicca.
Oui, j’ai choisi la date exprès pour la chronique de cet album et non, Allo Babar et les Caramboleurs de Ethmebb n’est pas un faux album, inventé pour l’occasion.
Le 29 mai 1453, la ville de Constantinople est prise. C’est cette histoire que vient nous raconter Aeternam, dans cet album Heir of the Rising Sun.
Les services presse, ça me fait faire des économies, mais ça me permet également de découvrir des chouettes groupes, comme Mastord, pour ce Lemmon Lintu.
Encore une recommandation de l’ami JC , sur laquelle je me suis un peu endormi à tort: Quadrivium, de Vordona, un court album de prog metal plutôt chouette.
Sitôt rédigé mon article sur les albums de l’année 2024, en voici un nouveau qui aurait dû s’y retrouver : le nouvel album de Fierce Deity, A Terrible Fate.
Encore du metal français, dans un genre différent. Nemedian Chronicles propose, avec The Savage Sword, du power-metal pour barbare en slip de fourrure.
À l’écoute de cet album de Seth, La France des Maudits, j’ai immédiatement pensé « Magoyond, mais sérieux, et avec le Diable ». Et en black-metal, aussi.
Bon, les prog-heads, il faut qu’on cause. Je viens d’écouter The Last Will and Testament d’Opeth, et je n’arrive toujours pas à aimer ce groupe.
Me revoici à chroniquer un album en même temps que JC. En même temps, la sortie d’un album de Frost*, ici Life in the Wires, est toujours un événement.
Séance de rattrapage avec les derniers albums des deux groupes vus en concert récemment. Et je commence avec Ignea et Dreams of Lands Unseen.
Il y a douze ans, Wintersun sortait Time I. Cette suite, Time II, arrive donc bien tard. Et la question est de savoir si ça valait l’attente.
L’Italie est une nation qui nous donne des groupes de metal très variés, comme Eva Can’t, qui vient de sortir le très impressionnant Emisferi.