Les Raconteurs: Alias dans le poste
J’ai une actualité très audiovisuelle: dans l’épisode du 23 février de l’émission Les Raconteurs, sur Couleur 3, je parle de jeu de rôle, mais pas que.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
J’ai une actualité très audiovisuelle: dans l’épisode du 23 février de l’émission Les Raconteurs, sur Couleur 3, je parle de jeu de rôle, mais pas que.
Samedi passé, j’ai participé à une table ronde “Témoignages: création de jeux de rôle” organisée par OctogOnline. D’où ces quelques conseils.
J’ai été invité par les confrères d’Ars Ludendi pour tester le jeu Via Fabula au cours d’une petite balade entre La Sarraz et Romainmôtier.
J’ai décidé de mettre gratuitement à disposition quasiment tous mes écrits, en version numérique. Comment? Ah oui, c’était déjà le cas avant, c’est vrai.
On est en 2020, c’est le bon moment pour remettre à jour le guide Création de contenu et financement. Oui, je sais: il m’a fallu un moment.
Mardi, j’ai voulu planifier la parution du nouveau chapitre de Erdorin, Chroniques de l’Arbre-monde, Livre 5. Je me suis gouré dans la date.
Y’a des fois où on devrait vraiment faire ses devoirs avant de publier un article. Et, par “on”, je veux dire “moi”: sur mon billet à propos de MyTip et de uTip, j’ai laissé passer quelques grosses conneries et pas mal de formulations malheureuses. D’où ce présent rattrapage.
Récemment, j’ai vu apparaître deux nouveaux outils de micros-dons / mécénat made in France, uTip et MyTip. Enfin, « récemment », c’est un peu exagéré: uTip, ça fait bien un an ou deux que j’en entends parler via Cestdoncvrai.
Aujourd’hui – enfin, hier, mais on ne va pas chipoter – c’est le dixième anniversaire de Blog à part, version Wordpress. Le blog en lui-même, c’est un peu plus compliqué; disons que si c’était une personne, il aurait désormais l’âge légal pour aller boire des bières.
Depuis que je vous parle de L’Oasis – ou “communauté pour créateurs décentralisés” –, je mentionne fréquemment les flux RSS. Si vous ne savez pas ce que sont les flux RSS, vous ratez un des outils les plus puissants qui existent sur Internet. (Et si vous le savez, il y a de grosses chances que …
Je sais, je vous avais promis un article sur les RSS, mais il se trouve que, grâce à un de mes contacts sur G+ – et au détour d’un article vieux de quatre ans – j’ai découvert IndieWeb, un projet très similaire à ce que j’envisage pour L’Oasis.
Pour ce troisième billet sur le thème de L’Oasis – nom que j’ai donné, en plein accord avec moi-même, au concept de communauté de créatrices et créateurs décentralisés, concept qui a désormais une page rien qu’à lui – il est temps de passer aux choses pratiques. Du coup, je vais vous parler hébergement.
La publication de mon article sur la décentralisation numérique pour créateurs – je simplifie, mais c’est l’idée – a eu un certain écho. Disons qu’avec 150 vues, il est assez loin en tête des articles du mois. Oui, je n’ai somme toute qu’un petit blog.
Peut-on être un créateur et exister sans Facebook – ou n’importe quelle autre grande plateforme centralisée? Il y a un peu moins d’un mois, je parlais de la prise de conscience chez un certain nombre de créateurs que ces grandes plateformes – au premier rang desquelles on trouve Facebook et Google (notamment via YouTube) – avaient une politique qui pouvaient se résumer à “nous ne voulons que vos biens”.
Il semble que pas mal de gens sont en train de se rendre compte que leurs intérêts et ceux de Facebook divergent quelque peu. Parmi ces gens, beaucoup de créateurs qui s’aperçoivent que, même s’ils ont des dizaines de milliers d’abonnés à leur page, seuls quelques milliers d’entre eux recevront une nouvelle publication sur leur fil d’info. Pour en toucher plus, il faut payer.
J’ai vu passer, sur mes divers fils d’information, quantité de messages sur la question de la rémunération des auteurs·trices, sur la question de la création comme d’un “métier passion” et autres. Le sujet n’est pas nouveau, mais a de nouveau fleuri (c’est le printemps) avec la décision du Salon du Livre de Paris de ne pas payer les interventions des auteurs invités.
Il y a deux ans, j’avais écrit un guide sur les différentes façons de solliciter – et, surtout, de recevoir – un financement quand on est créateur. Depuis, le paysage a pas mal changé: certains services ont disparu, d’autres sont apparus et, parmi les survivants, les fortunes (ha! ha!) sont diverses. Je reprends donc le clavier pour un nouveau tour d’horizon des outils et services de financement pour créateurs en ce début 2018.
… ou de la sortie, puisque dès demain, 29 septembre, Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures est officiellement disponible en boutique. Après un poil plus de deux ans de travail sur le sujet et quelques malédictions diverses, c’est un peu le soulagement pour mon co-auteur principal, Antoine, et moi-même.
En faisant le tri lors de mon déménagement, je suis tombé sur un certain nombre de reliques en relation avec le développement de Tigres Volants. Je vous en ai fait une galerie d’images sur Flickr, il y a même des trucs que j’avais dessiné. C’est un peu émouvant – et un peu embarrassant, aussi.
En me relançant dans le projet Erdorin – plus précisément Erdorin:2300, né Tigres Volants – je suis retombé sur un article où je parlais des principes du jeu. Ce texte en est un développement, où je regroupe tous ces différents points en trois principes qui me semblent importants.