The Moon and the Nightspirit: Aether
Ça me surprend toujours de lire sur Angry Metal Guy la chronique d’un groupe de folk, comme ce Aether de The Moon and the Nightspirit.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Ça me surprend toujours de lire sur Angry Metal Guy la chronique d’un groupe de folk, comme ce Aether de The Moon and the Nightspirit.
C’est en l’an 3 avant l’Ère du Grand Bordel, que le Naheulband a enregistré cet album live au Trianon intitulé 15 Ans de Chaos.
Dans ces Restes du Samedi, les EP, de Frost* (rock progressif) et de Vanlock (post-rock), plus un album au parcours mystérieux, de Ray Lamontagne (folk).
Le moment tant craint est arrivé: je n’ai rien de particulier à dire sur le nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour mai 2020. Ou presque.
Quand deux personnes distinctes me disent « tu devrais jeter un oreille sur Villagers of Ioannina City, c’est cool », je finis par acheter Age of Aquarius.
L’arrivée d’un nouvel album des Occitans de Minimum Vital, comme ce Air Caravan’, est un événement qui me met toujours en joie.
Dans la catégorie « metal expérimental », Thy Catafalque tient une place à part et Naiv, le nouvel album, le prouve une fois de plus – peut-être trop.
Il y a des groupes qui défient toute catégorisation. Prenez Kauan: à l’origine, c’était un groupe de doom/black-metal. Ça n’a pas duré et Kaiho, leur septième album, continue dans une veine qui associe rock progressif, post-rock contemplatif et folk.
Il faut croire que la parution en presque-avance de l’épisode d’avril était un accident de parcours, une anomalie statistique, car en ce 10 juin (date à laquelle j’écris cet article), l’épisode de mai 2019 de Radio-Erdorin est en cours de chargement.
À l’heure où j’écris ces lignes, on est le 3 mai et j’ai déjà finalisé et mis en ligne l’épisode d’avril de Radio-Erdorin. Il faut croire que j’apprends de mes erreurs.
Quand je vous disais qu’il y a une tendance lourde au niveau des groupes suisses qui sortent des albums de folk-metal (et assimilés): après Cân Bardd et Norvhar (et, dans une moindre mesure, Cellar Darling), c’est Eluveitie qui revient, avec cet Ategnatos.
Je ne sais pas trop s’il y a un truc dans l’air ces temps-ci, mais en même temps que les pollens qui rappliquent en masse dans mes sinus, les groupes suisses de folk-metal viennent m’envahir les oreilles. Bon, Kauna, le premier album de Norvhar, mérite mieux que cette comparaison, mais vous voyez l’idée.
À votre avis, c’est un hasard que cet album de Sojourner, The Shadowed Road, ait pour initiales “TSR” alors que c’est du metal atmosphérique pour rôlistes? En toute honnêteté, probablement que oui, mais la coïncidence est trop grande pour que je la rate.
Pour ces Restes du samedi de fin d’année, je vous propose un trio d’albums courts venus d’horizons divers: folk-rock alternatif avec Calaveyre, metal progressif expérimental avec Oh et guitar-hero prog avec Plini. Et en prime, un mini-tour du monde, qui part de la Bretagne pour aller en Australie via la Grèce.
Un des trucs qui est toujours rigolo avec le metal, c’est le côté “devinez la nationalité”. Du coup, pour le premier album de Under Siege, le fait d’avoir une piste d’intro qui s’intitule “Blàr Allt Nam Bànag” laisse présumer d’origines nordiques – ou à tout le moins celtes, à l’ouï des cornemuses et du melodeath qui suit. Raté: ce sont des Italiens!
Le souci, avec la frange la plus expérimentale du metal progressif, c’est de savoir à quel moment on quitte le rivage de l’expérimentation bluffante pour être emporté dans le grand tourbillon du nawak de la fin des temps. Ça doit être une question d’habitude, parce que je suis à peu près certains qu’il y a quelques années, j’aurais rangé Geometria, le nouvel album de Thy Catafalque, dans la seconde catégorie.
Après un splendide Under the Red Cloud, j’attendais avec une certaine impatience le nouvel album d’Amorphis. Voici donc “Queen of Time” qui, d’une certaine manière, est bien dans la continuité du précédent: du death mélodique très mélodique avec une touche folk nordique.
Avec plus de vingt-cinq ans de carrière, le groupe israélien Orphaned Land est un des pionniers du metal orientalisant et ils reviennent avec un nouvel album, Unsung Prophets & Dead Messiahs. En règle générale, j’ai toujours un peu de mal avec les albums de Orphaned Land (et assimilés): d’un côté, leur concept musical de metal …
En général, quand la quasi-intégralité des rédacteurs d’Angry Metal Guy commence à plébisciter un album – en l’occurrence In Forgotten Sleep de Lör – ça m’intéresse, tant que ce n’est pas dans un genre bruitiste.
Vous vous souvenez peut-être que, pour la chronique de Mobius il y a quelques jours, j’avais mentionné que le groupe m’avait été recommandé par une double chronique de Fred Bezies. L’album Sleep Now, Quiet Forest, de Todesbonden, est le seconde recommandation de cette chronique, également en metal symphonique.