Lupanar par design

Ça faisait un petit moment que je ne vous avais pas parlé de la campagne lupanar. Ça avance. Billet suivant!

Bon, plus sérieusement, comme mentionné précédemment, j’ai sérieusement commencé l’étape de la mise et j’ai passé ces dernières semaines à jouer avec le design du bazar, bidouiller la taille des caractères et retravailler les textes pour arriver à quelque chose de plus cohérent.

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Les Craypion d’or, le retour des Mud Brick Awards

En lisant l’article d’OWNI, intitulé Les Craypion d’or, le mythe du web vernaculaire (merci Krynn de l’avoir partagé sur GReader), une sorte de prix satirique pour les sites web moches – un peu comme les Gérard du ciné ou de la télé – je me suis tapé une madeleine numérique. Je me suis rappelé de l’existence des Mud Brick Awards, ou “Muddies”, qui, à ma connaissance, n’ont eu qu’une seule édition, en 1999.

En attendant InDesign CS4

Ce n’est pas sans une certaine impatience que j’attends la commercialisation de mon prochain jouet informatique, à savoir Adobe InDesign CS4. Techniquement, c’est toute la suite CS4 que j’attends, mais c’est InDesign, le logiciel de mise en page, que j’utilise le plus. Ceux que ça intéresse peuvent aller sur le blog de Branislav Milic, qui a une …

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Acrobaties

InDesign, ça c’est un programme de mise en page qu’il est bien. Par contre, quand ça couille, ça couille bien…

Bon, je suppose que ce n’est pas exactement nouveau: à partir du moment où on fait joujou avec des outils un peu plus compliqués que Notepad ou MacPaint, les risques de catastrophes augmentent de façon exponentielle. Du coup, quand on fait de la mise en page — qui implique du texte, des images, des polices de caractère et, dans le cas de InDesign, des choses réellement abconses comme des effets de tranparence ou des chemins de détourage — il ne faut pas s’étonner si les chances de se retrouver avec une usine à gaz pour savant fou pulp s’approchent brutalement de 1.

J’en ai eu récemment l’expérience avec Tigres Volants 3. Oui, ça veut dire que ça avance…

Dans le cas présent, j’ai voulu me rendre compte en “grandeur-nature” de ce que pourrait donner une mise en page quasi-finale du machin: avec styles, maquette et illustrations. D’aucuns me diront que c’est un peu suicidaire de s’amuser à ce genre de choses avec des textes non finalisés. C’est un peu vrai, mais la mise en page, c’est un peu mon vrai métier, aussi: faire la maquette et couler 300 pages de texte et d’illustrations, je fais ça de neuf à cinq (dans les bons jours). Même pas peur! Ça m’a permis de voir un certain nombre de problèmes potentiels, qu’il va falloir que j’attaque au manche de pioche avant peu, et ça m’a aussi donné une approximation de la taille de l’ensemble (loqiquement, ça passe!).

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