Godspeed You! Black Emperor n’est pas facile à chroniquer. Mais ce G_d’s Pee AT STATE’S END! va vraiment très loin dans le tarabiscoté!
Face à un nom tel que Retrofuture Caveman, de Methadone Skies, je parierais volontiers sur du prog. Raté: c’est du post-rock.
Derrière sa couv’ façon Druillet, le duo breton Vaisseau propose un premier album, intitulé Horrors Waiting in Line, de space-rock un peu vintage.
Encore un groupe de post-rock banal, en apparence: Bruit ≤ et The Machine is burning and now everyone knows it could happen again. Sauf que non.
Autre album difficile à chroniquer, Ghost Tapes #10, de God Is an Astronaut, un album qui ressemble à un retour à la normale, ou peut-être pas.
J’associe le post-rock aux grands espaces ou aux paysages interstellaires. Il en existe une variante plus sombre, comme Duna de Flash the Readies.
Chroniquer des albums qui datent, c’est risquer de se faire rattraper par l’actualité. C’est le cas avec Oscillate, nouvel album de pg.lost.
Voyages psychédéliques, rencontres du douzième type et zigouigouis électroniques, bienvenue sur Space for the Earth, d’Ozric Tentacles!
Dans ces Restes du Samedi, les EP, de Frost* (rock progressif) et de Vanlock (post-rock), plus un album au parcours mystérieux, de Ray Lamontagne (folk).
Je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus brutal pour Couvre-Sang, nouvel album du groupe français de post-metal DDENT. Rien que le nom, déjà.
C’est au site eMaginarock que je dois la découverte de cet album de post-rock, Speaking for Clouds, du groupe slovène Shadow Universe.
Achromata, le précédent album du groupe russe Aesthesys, avait fait l’effet d’une bombe. Alignments, le nouvel opus, pose la question: sera-t-il au niveau?
Key, de Pg.lost, date de 2012. Mais ça faisait un moment que je voulais découvrir ce groupe autrement qu’en fond sonore dans les concerts de post-rock.
Même si j’ai un rapport assez conflictuel avec le post-rock, j’ai plutôt bien aimé le premier album du groupe français Xanthe Dorsa.
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