Xanthe Dorsa
Même si j’ai un rapport assez conflictuel avec le post-rock, j’ai plutôt bien aimé le premier album du groupe français Xanthe Dorsa.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Même si j’ai un rapport assez conflictuel avec le post-rock, j’ai plutôt bien aimé le premier album du groupe français Xanthe Dorsa.
Lebowski est un groupe de rock progressif cinématique. Galactica est leur nouvel album et, en effet, on a l’impression d’entendre une bande originale.
Quand un groupe ignore les règles de capitalisation et de ponctuation, c’est fort souvent un groupe de post-rock, comme hubris., qui propose Metempsychosis.
Obscuroscope est le nouvel album d’Astrosaur, un groupe norvégien de gros rock instrumental qui tache, quoiqu’un peu trop vintage à mon goût.
L’annonce par Stömb de leur nouvel album de metal progressif instrumental, From Nihil, a créé chez moi des attentes qui ne sont pas forcément raisonnables.
Triumph & Distaster, du groupe australien We Lost the Sea, est une variation “classique” du post-rock, plus dans le style de ce qui se fait aujourd’hui.
Russian Circles est un des premiers groupes de post-rock que j’ai découvert. Plus de dix ans plus tard, je les retrouve avec un nouvel album, Blood Year.
Imaginez que Sky over Giza est un film de science-fiction italien des années 1960, dont la bande originale est composée par La Morte Viene Dallo Spazio.
Quantum Fantay est de retour avec Yemaya Orisha, un space-rock instrumental pour vous emmener aux limites de l’espace-temps et de la conscience!
Nouvelle édition des Restes du samedi, version “brefs”, avec les EP Echoes of the Past, du groupe genevois Kaatarakt, et Impulse, du guitariste français Tiem.
C’est par la poste qu’est arrivé mon exemplaire de 影 [kage], le nouvel album du groupe français de post-rock Neurococcyx. Ce n’est pas très courant.
Quand un ami que je n’ai pas revu depuis cinq ans me dit “Salut! avec mon groupe, on joue à Genève ce samedi. Tu viens?”, ça fait un peu bizarre. Déjà, je ne savais pas qu’il jouait dans un groupe. Le groupe en question s’appelle SED et il jouait donc à Le Scène de Genève.
C’est par un biais étrange que j’ai découvert Étrange. Vous avez dit Étrange? Comme c’est bizarre. D’accord, je dois être au moins le trentième à faire cette blague à propos de cet album de metal progressif instrumental, premier du duo éponyme et néanmoins français.
Il y a peu, je vous parlais de Dreamgrave, un groupe qui mélangeait rock et metal progressifs. Ysma est un groupe allemand qui a aussi tendance à rajouter beaucoup de rock progressif dans son metal instrumental. Pour preuve cet album, Memoirs in Monochrome.
Parmi les albums achetés ces derniers temps, en voici deux qui sont pas mal, mais, pour des raisons différentes, que je peine à chroniquer au format normal. Et comme ce sont deux albums instrumentaux (dans le titre, c’est donc « instrus », pas « intrus »), c’est l’heure des Restes du samedi, avec Driving Slow Motion et Mörglbl.
Un des aspects les plus difficiles de la vie de blogueur musical, c’est d’arriver à tenir la cadence, entre les sorties attendues et les découvertes géniales. C’est pourquoi Achromata, dernier album en date d’Aesthesys, qui entre dans la seconde catégorie, a mis autant de temps à avoir sa chronique.
Je ne sais pas ce qu’il y a dans l’atmosphère du côté de Grenoble, mais il y a un sacré vivier de groupes de metal, surtout de metal progressif et assimilés. C’est de là que vient Left Unsaid, qui m’a contacté pour que je chronique leur premier album, The Pages Torn Out.
Je vous avoue que, le post-rock et moi, c’est moins la grande histoire d’amour que ça eût été. Même ce Nowhere Now Here, nouvel album de Mono, ma laissé quelque peu froid. Et pourtant…
Allez, vous reprendrez bien un petit peu de Restes du samedi? Avec Armed Cloud et The Dead Centuries, voici deux albums qui, dans l’absolu, sont pas mal du tout, mais pour lesquels je peine à faire une chronique pleine et entière, principalement par manque d’enthousiasme.
Si vous aimez le post-rock, vous devez suivre le blog de Totoromoon! C’est de la pub purement gratuite, mais c’est grâce à sa chronique enthousiaste que j’ai découvert Earthcult, l’impressionnant album du groupe russe Trna.