Trna: Earthcult
Si vous aimez le post-rock, vous devez suivre le blog de Totoromoon! C’est de la pub purement gratuite, mais c’est grâce à sa chronique enthousiaste que j’ai découvert Earthcult, l’impressionnant album du groupe russe Trna.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Si vous aimez le post-rock, vous devez suivre le blog de Totoromoon! C’est de la pub purement gratuite, mais c’est grâce à sa chronique enthousiaste que j’ai découvert Earthcult, l’impressionnant album du groupe russe Trna.
Le post-rock et moi, vous le savez, c’est un mélange d’intérêt pour un genre instrumental qui est capable de tisser des ambiances impressionnantes et qui, cependant, peine à se renouveler. Si j’ai choisi de m’intéresser à l’album USA 1982 de We Stood Like Kings, c’est parce que la chronique de Totoromoon a su m’attirer en mentionnant le film Koyaanisqatsi, dont cet album est censé être la bande originale alternative.
Il faut souvent qu’un blogueur français – en l’occurrence, le site Neoprog – écrive un billet sur un excellent groupe suisse de post-rock pour que je le découvre. C’est presque vexant. Dans le cas présent, il s’agit de Inhale / Exhale, le dernier album de Glaston.
Pour ces Restes du samedi de fin d’année, je vous propose un trio d’albums courts venus d’horizons divers: folk-rock alternatif avec Calaveyre, metal progressif expérimental avec Oh et guitar-hero prog avec Plini. Et en prime, un mini-tour du monde, qui part de la Bretagne pour aller en Australie via la Grèce.
Il y a cinq ans, Vinc2, pseudo derrière lequel se cache le dénommé Vincent Coudert, avait sorti un premier album, By the Third Sea – que j’avais brièvement chroniqué il y a un an, parce que Suisse. Son nouvel opus, Rescued from Drowning, est sorti il y a quelques semaines et je me dis qu’il serait peut-être temps de se plonger dans son étrange ambiance.
Avec l’âge, je me méfie un peu des nouveaux albums de post-rock. Non qu’ils aient tendance à être mauvais, mais ils ont surtout tendance à se ressembler. Témoin … and who will take vare of you now de Magma Waves, pourtant recommandé par Angry Metal Guy.
Et le prix du titre d’album WTF de l’année revient à Quantum Fantay et son Tessellation of Euclidean Space! En même temps, il faut avouer que le space-rock a toujours eu un goût immodéré pour les intitulés abscons et surréalistes. Et les pochettes moches, aussi, hélas!
Je suis un petit peu frustré avec Flicker Rate: ce projet solo d’un jeune musicien britannique, Spencer Bassett, a déjà produit trois EP, dont Skylight est le dernier en date. J’avais précédemment chroniqué Reframe, le précédent, dans un “reste du samedi”.
Il m’aura donc fallu cinq mois pour découvrir Vortex, le dernier album des Espagnols de Toundra, groupe de post-rock découvert en concert à l’Usine début avril. Découverte qui confirme l’impression du live-report: ça dépote grave!
Nouvelle édition thématique pour les Restes du samedi, la rubrique consacrée aux chroniques brèves. Aujourd’hui, je vais vous parler de trois groupes suisses romands: Salvertine et les deux formations post-rock découvertes lors du concert de Toundra, Darius et What Aleph Said.
Blablabla post-rock blabla toujours la même chose bla. Jusqu’au moment où un groupe comme Long Distance Calling arrive dans la place et balance un album comme “Boundless” et, soudainement, ce n’est plus le même cierge qui coule.
Je ne sais pas si c’est particulier à la France ou si c’est simplement un biais de lecture dû à mes sites de référence, mais la scène post-rock française m’apparaît singulièrement conséquente. Ainsi, Fleuve est une formation de la région parisienne dont j’ai découvert le premier album, intitulé “S/T” – je suppose que sans veut dire “sans titre”, ce qui est paradoxal – par un live-report de Totoromoon.
Le Grand Œuvre, le but ultime de tout alchimiste. Se pourrait-il que le groupe de post-rock instrumental français Cendres l’ait atteint avec cet album, découvert grâce à un live-report de Totorromoon?
Ce qu’il y a de bien avec Magic Night, le dernier album de Violet Cold, c’est que le titre comme le nom du groupe annoncent la couleur: c’est sombre, avec des teintes de violet profond et le froid d’une nuit d’hiver, et que c’est un peu magique aussi.
Dodecaedro de Glass Mind est presque l’illustration parfaite de la relation paradoxale que j’ai avec les albums instrumentaux: d’un côté, la voix est souvent le point qui me gêne le plus dans un groupe et, d’autre part, sans chant, les morceaux ont tendance à se ressembler.
Pour cette chronique musicale, on reste dans le rock instrumental français. Je vous avais promis, après les avoir vus en concert à Guitare en scène, de vous reparler du groupe grenoblois Alex Cordo. C’est désormais chose faite, après avoir reçu – et écouté – leur album Origami.
Deux ans après The Grey, mon album préféré de 2015, le groupe de metal progressif instrumental français Stömb (ou [STÖMB]) revient! Certes, Duality n’est qu’un EP, mais ça fait toujours plaisir de retrouver un groupe de cette qualité.
Un jour, j’écrirai un article sur la difficulté d’écrire des chroniques sur des albums qui se résument à “c’est bien, mais c’est juste bien” et je l’illustrerais notamment avec ce nouvel album de sleepmakeswaves, Made of Breath Only. Vous me direz que c’est aussi à cela que sert ma rubrique “les restes du samedi“, ce qui n’est pas faux.
Allez, on reprend les bonnes habitudes avec les [whatever] du samedi, dans le cas présent une petite sélection d’albums courts, EP et autres, qui ont atterri dans ma liste de lecture ces dernières semaines. Sans surprise, il y a beaucoup d’instrumental, avec la bitpop de The Algorithm, le prog/post-rock de Flicker Rate et le post-rock ambiant de Vinc2.
Autre artiste présent lors de la prochaine soirée prog du KIFF, à Aarau, David Maxim Micic n’est pas un inconnu de ce blog, puisque j’avais eu l’occasion de chroniquer son excellent Bilo 3.0. Il revient cette année avec un nouvel album, Who Bit the Moon. Oui, j’en ai raté plein entre les deux, mais bon.