Le troisième et dernier épisode du triptyque post-rock suisse nous emmène dans des contrés qu’on a un peu du mal à associer aux friches industrielles brumeuses, puisque Kovlo est un groupe originaire de Lugano, au Tessin. Ce qui n’empêche leur album Timelapse d’afficher un style crépusculaire. C’est à Totoromoon que je dois cette découverte.
Par les temps qui courent – pluie, neige, froid, clowns tueurs – rien de tel qu’un peu de musique pour se remonter le moral! Bon, par contre, il faudra peut-être éviter des groupes de post-rock comme Maïak et son album A Very Pleasant Way to Die.
Après les montagnes et ses fantômes, le groupe britannique Kylver s’en va explorer des îles mystérieuses avec The Island, titre de son nouvel album, un voyage entre post-rock et psychédélique sur fond de sonorités très seventies.
Bonjour, mon nom est Alias et j’ai rechuté dans le post-rock (BONJOUR ALIAS!). Dans le cas présent, je suis allé chercher dans les chroniques de Totoromoon pour y découvrir Skies, l’album du musicien français qui se cache derrière le nom de All Is Within.
C’est grâce à Fred Bezies, grand découvreur de post-rock instrumental français que j’ai découvert Horst et leur album, Never Two Without Three. Petite anecdote cocasse: une demi-heure après avoir acheté et téléchargé l’album, j’ai été contacté par le groupe pour une chronique.
Dans le post-rock, il y a grosso-modo deux écoles: les énergiques et les contemplatifs. La formation française Oiseaux-tempête est plutôt de la seconde, si on se réfère à Ütopiya?, leur dernier opus en date, découvert grâce à une chronique de Clair & Obscur.
Vous allez finir par croire que, ces temps-ci, je fais une fixette sur Mike Oldfield, façon « il entend du Mike partout », mais j’ai sérieusement l’impression que ce deuxième album du groupe britannique Arcade Messiah, sobrement intitulé II, est quelque peu influencé par l’auteur de Tubular Bells.
Tiens, du post-rock instrumental français. Oui, encore. J’ai découvert cet album Red Forest, du groupe éponyme et néanmoins caennais, via la recommandation de Fred Bezies. Oui, encore. On ne change pas une équipe qui gagne.
Un nom de groupe simple – Cirrus Minor – un album du même nom et des pistes numérotées par de simples chiffres romains, vous êtes sûr que c’est bien du post-rock? Simple, certes, mais un album de bon goût, composé par un groupe français que nous a encore dégoté Fred Bezies, qui s’avoue accro au post-rock instrumental. Mais avec une came pareille, qui l’en blâmerait?
A Place to Hide est le premier album – enfin, plutôt le premier EP, au vu de sa taille – de Syncatto, un projet de rock progressif instrumental que l’on doit au guitariste californien Charlie Robbins et dont la découverte revient à Fred Bezies.
Troisième billet de cette série consacrée aux groupes de post-rock français, toujours grâce à une recommandation de Fred Bezies, Hors Sujet est un autre projet autour d’un musicien, Florent Paris, de Toulouse. Son album, Nous n’y trouvons que le doute, se réclame d’une veine plus cinématique et intimiste.
En matière musicale, l’ami Fred Bezies a souvent raison. Bon, pas toujours, mais quand il souligne l’impressionnant foisonnement du post-rock français, notamment avec ce Atlas Hands de GrimLake, ce n’est pas moi qui vais lui donner tort.
Je dis souvent que le post-rock est un genre qui souffre d’un manque d’un souffle original. Le quatuor texan Sans Soleil vient peut-être rectifier ce paradigme avec leur EP A Holy Land Beneath a Godless Sky, qui mêle post-rock, post-metal et violon alto.
Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste “excellent”?
En attendant la prochaine navette pour Bételgeuse via Orion et les Perséides, j’ai Helios/Erebus, le dernier album de God Is an Astronaut, dans les oreilles. Via les systèmes haptiques de ma combinaison, je peux sentir les vents solaires d’étoiles inaccessibles, les rayonnements gamma de quasars invisibles; pour un peu, je pourrais presque goûter l’herbe de l’Irlande, terre natale de ces fleurons du post-rock.
Quand j’ai vu que Clair & Obscur chroniquait Birdbrain’s Travels, le nouvel album de The Healing Road, j’avoue avoir ressenti une certaine crispation, en rapport avec ma précédente expérience avec ce projet. Expérience que l’on pourrait résumer par “on peut donc être trop influencé par Mike Oldfield”.
Après la Croatie, un autre pays exotique à accrocher à mon tableau de chasse musical: Singapour. Car c’est de cette riante cité-État (insérez ici rires des fans de Tigres Volants) que provient le groupe de post-rock In Each Hand a Cutlass, dont The Kraken est le dernier album en date. Mille remerciements à Neoprog pour cette découverte!
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