Iron Man 3

Ça faisait un petit moment qu’avec le gang habituel, nous n’étions pas allé au ciné. Objet de la séance d’hier: Iron Man 3, comme son nom l’indique troisième volet des aventures du super-héros le plus cool du moment, j’ai nommé Tony Stark.

Dans le cas présent, il se retrouve confronté à une menace terroriste, incarnée par Le Mandarin, qui fait sauter des bombes sans bombe et qui menace le Président des USA. Tony Stark étant Tony Stark, il ne peut pas s’empêcher de le défier en public et, du coup, se retrouve avec une grande quantité de missiles dans sa maison. C’est ennuyeux.

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The Avengers

Or donc, je suis allé voir The Avengers, le dernier film de superhéros en date, et c’était très bien. Ne comptez d’ailleurs pas sur une chronique en longueur: certains de mes collègues blogueurs geeko-rôlistes l’ont déjà fait avant moi (et mieux que moi).

Oh, je ne dirais pas non plus que c’est le film du siècle: à deux heures et vingt minutes, il y a quelques longueurs, ainsi que deux ou trois trous dans le scénario. Ce n’est au final pas très important: une fois que l’action démarre, ça cartonne dans tous les sens et le film fourmille de petits détails qui sont comme autant de clins d’œil aux geeks et de répliques qui font mouche.

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Captain America, The First Avenger

Je suppose que si je commence ce billet sur Captain America, vu dans l’avion du retour, par “je n’aime pas les superhéros, mais…”, vous allez (à raison) vous foutre de ma gueule. Pour quelqu’un qui censément n’aime pas ça, il est vrai que j’en parle beaucoup.

Bon, dans le cas présent, j’avance une excuse: ce film est du pur pulp. Résumons: nous avons un héros aux pouvoirs hors du commun, mais pas complètement fantastiques non plus, des savants fous, des Nazis, une conspiration qui veut régner sur le monde (autre que lesdits Nazis, s’entend) et des faits d’arme audacieux dans des bases secrètes. Il manque la blonde vénéneuse et les destinations exotiques, mais c’est un peu tout.

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Sherlock Holmes

Franchement, je ne vois pas comment j’aurais pu ne pas aimer ce film: il y a Sherlock Holmes, d’une part, qui est un de mes personnages littéraires préférés. Ce Sherlock Holmes est interprété par Robert Downey Jr., qui avait déjà fait auparavant un Tony Stark de toute beauté dans Iron Man.

Il y a un Dr Watson, interprété par Jude Law, qui rappelle à notre bon souvenir que, loin d’être un faire-valoir fat et empoté, c’est un ancien médecin militaire et quelqu’un qui, à défaut d’avoir le sens de l’observation et le génie déductif du détective, a suffisamment de sens commun et d’esprit pratique pour douze Holmes.

Et puis, surtout, il y a cette reconstitution du Londres de la fin du XIXe siècle, si parfaitement steampunk avec ses ruelles pavées, ses débuts de technologies domestiques, ses lords so british, ses sociétés secrètes et autres machines infernales et son inframonde criminel crasseux. Je mentirais si je disais que ça n’était pas une des motivations premières pour voir ce film.

Je vais être très honnête: pour ce qui est du reste, il y a du bon et du moins bon. Le très méchant Lord Blackwood (Mark Strong), bien inquiétant mais un peu occulté par son intrigue, des scènes d’action nerveuses, mais qui tirent parfois un peu en longueur. Des effets spéciaux numériques impressionnants, mais pas toujours très réussis et un personnage féminin, Irène Adler (Rachel McAdams) qui agit comme le parfait contrepoint du duo Holmes-Watson, mais qui est un peu pâlotte pour être une véritable héroïne à part entière.

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Iron Man

Le dernier avatar des films de super-héros, que Marvel semble cracher au kilomètre, c’est Iron Man. Je vous avais déjà causé de la minisérie Iron Man: Hypervelocity, le film n’est hélas pas scénarisé par Adam Warren, mais il se défend quand même pas mal. Le principal intérêt n’est pas tant le héros lui-même que son alter ego, …

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Iron Man: Hypervelocity

En général, je n’aime pas les comics de superhéros, à de rares exceptions près (Watchmen, The Authority et quelques autres). J’ai pourtant ramassé Iron Man: Hypervelocity et, soyons clair: ça déchiquete! C’est le nom d’Adam Warren (Dirty Pair, Grunge: The Movie, etc.), au scénario et au découpage, qui m’a attiré et… la vache!

L’histoire, qui peut paraître anecdotique face au déferlement de combats à haute vitesse et d’armes de destruction massive, est néanmoins bien tordue: à la suite d’une attaque sur son labo, le nouveau prototype d’armure d’Iron Man s’enfuit toute seule, avec une partie de la personnalité de son créateur, Tony Stark. On a donc une armure vide, qui contient une persona artificielle incomplète et, qui plus est, est attaquée de l’intérieur par un virus qui prend les traits d’un fantasme masculin.

Le titre ne ment pas: ça va à Mach beaucoup, avec tous les fétichismes habituels de Warren: ultratechnologie militaire, transhumanisme et intelligences artificielles, gros logos lumineux, créatures hypersexuées, bagarres survitaminées et humour décalé à base de références geek et pop-culture. En plus, non content d’être une course-poursuite spectaculaire, l’histoire reste lisible. Adam Warren maîtrise clairement son sujet.

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