Astralium: Land of Eternal Dreams
Dans le genre metal symphonique, ce Land of Eternal Dreams d’Astralium est très, mais alors très proche de son glorieux modèle finlandais.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Dans le genre metal symphonique, ce Land of Eternal Dreams d’Astralium est très, mais alors très proche de son glorieux modèle finlandais.
Vous aimez votre post-metal noir ou très noir? Dans les deux cas, le nouvel album de Svnth, Spring in Blue, peut vous intéresser.
Pour ce billet des Restes du samedi, grand écart entre le prog vintage de Space Traffic et le prog-metal instrumental de Past and Secrets.
Nine Witches under a Walnut Tree, du groupe italien OAK, est un concept-album prog-rock où neuf « sorcières » se retrouvent sous un noyer.
Nanowar of Steel est un groupe qui n’arrive pas à rester tranquille cinq minutes. Et donc, entre autres bêtises, voici Sodali Do It Better, un album live.
Parmi les groupes emblématiques du black-metal atmosphérique, Sojourner vient de sortir un nouvel album, Premonitions, qui a tout d’une bombe.
Je préfère les groupes qui essayent des trucs à ceux qui restent dans des thèmes connus. Illustration avec De Rervm Natvra, de Embrace of Disharmony.
Imaginez que Sky over Giza est un film de science-fiction italien des années 1960, dont la bande originale est composée par La Morte Viene Dallo Spazio.
Ah, le power-metal progressif, ce genre génial quand il est bien fait! Eh bien Noveria, groupe italien de power-prog, nous propose Aequilibrium.
Black Anima, nouvel album de Lacuna Coil, sonne comme une résurrection pour un groupe qui m’a longtemps frustré avec ses albums qui s’épuisaient rapidement.
La dernière galette de Rhapsody of Fire est à peine refroidie – OK, elle était un peu tiède à la base – que voici l’homonyme. Rebaptisé pour l’occasion Turilli / Lione Rhapsody, la formation du guitariste prodige italien nous propose un nouvel opus, intitulé Zero Gravity.
On va conclure cette semaine musicale en restant sous le signe du rock progressif seventies: Banco del Mutuo Soccorso est un des pionniers – voire un des survivants – du rock progressivo italiano, qui revient sur le devant de la scène en 2019 avec un nouvel album, Transsiberiana.
Secret Sphere est un nom qui ne m’est pas inconnu; j’avais chroniqué en 2011 leur album Archetype – le bien nommé. Depuis, les Italiens ont fait un petit bout de chemin et ont sorti The Nature of Time, leur huitième album, en 2017.
Dans la série “comme-son-nom-l’indique-metal”, voici Rhapsody of Fire, groupe de metal symphonique, et son album, The Eighth Mountain. Au moins, sur ce point, on n’est pas déçu (à part que ce n’est pas leur huitième album). Musicalement, c’est autre chose.
Il est temps de reparler du plus grand groupe de metals de tous les temps, des géants transalpins métamorphes qui honorent notre genre musical préféré par leurs albums profonds et… Ouais, bon, on va parler de Stairway to Valhalla, le nouvel album de Nanowar of Steel.
Découvert en 2017, le groupe italien de rock progressif Eva Can’t m’avait plutôt fait forte impression avec son album Gravatum. Ils reviennent en ce début d’année, mais avec un EP intitulé Febbraio.
À votre avis, c’est un hasard que cet album de Sojourner, The Shadowed Road, ait pour initiales “TSR” alors que c’est du metal atmosphérique pour rôlistes? En toute honnêteté, probablement que oui, mais la coïncidence est trop grande pour que je la rate.
Alors on ne va pas se mentir: au titre d’album le plus original de l’année, The Fallen King du groupe italien Frozen Crown n’a aucune chance. Je veux dire, même le nom du groupe et le titre de l’album sont de gros clichés. N’empêche que ce power-metal ultra-mélodique à voix féminine dépote bien!
Je pense que toute cette histoire part d’un malentendu: Soul Secret n’est pas vraiment un groupe de metal progressif. De quoi je parle, me demandez-vous? Eh bien de l’avis peu favorable que j’ai pu émettre sur ce groupe, sur sa prestation au Very Prog Festival – ainsi que celui que je me préparais à annoncer sur leur dernier album, Babel.
Je ne vais pas vous mentir: s’il y a un groupe dont je n’attendais pas grand-chose lors de leur passage au Very Prog Festival, c’est bien DGM. Chose amusante, c’est aussi le seul de tous les groupes présents ces deux soirs que j’avais déjà vu. Cette impression s’est vite dissipée à l’écoute de The Passage, leur dernier album en date.