OctoGônes 2021
Je ne saurais dire si l’Ère du Grand Bordel est terminée, mais le fait qu’une convention comme OctoGônes ait pu se tenir peut être vu comme un signe positif.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Je ne saurais dire si l’Ère du Grand Bordel est terminée, mais le fait qu’une convention comme OctoGônes ait pu se tenir peut être vu comme un signe positif.
Selon une ancienne légende, un ouvrage sur les donjons et les dragons révolutionna le monde. Jon Peterson étudie son impact avec The Elusive Shift.
Ce samedi, je suis retourné en convention pour la première fois depuis février 2020. C’était à La Boîte de Pandoure, à Yverdon.
Nouvelle escapade autour du jeu Via Fabula. Cette fois-ci depuis le col du Mollendruz jusqu’à la Buvette des Croisettes, dans le Jura vaudois.
La disparition de David Graeber est une de celles qui m’a le plus touchées. The Utopia of Rules touche du doigt les dysfonctionnements de notre société.
Grosse actualité autour de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures: un supplément, une conférence, une interview, une partie en ligne et une vidéorègle.
Ce week-end aurait dû avoir lieu Orc’idée. Les organisateurs ont pu maintenir la partie JDR’idée de la convention, à savoir les conférences.
J’ai une actualité très audiovisuelle: dans l’épisode du 23 février de l’émission Les Raconteurs, sur Couleur 3, je parle de jeu de rôle, mais pas que.
Samedi passé, j’ai participé à une table ronde “Témoignages: création de jeux de rôle” organisée par OctogOnline. D’où ces quelques conseils.
J’ai été invité par les confrères d’Ars Ludendi pour tester le jeu Via Fabula au cours d’une petite balade entre La Sarraz et Romainmôtier.
J’écris ces lignes entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne. Parce que le Buron des Joueurs, c’est bien, mais c’est compliqué pour y aller.
Ce week-end, il y avait une convention de jeu de rôle: la première CyberConv, dite aussi 1.0, sur Twitch, Discord et des plateformes de jeu en ligne.
J’ai décidé de mettre gratuitement à disposition quasiment tous mes écrits, en version numérique. Comment? Ah oui, c’était déjà le cas avant, c’est vrai.
Les étoiles sont alignées, les Grands Anciens sont de retour. Ce Grand Ancien répond au nom indicible de Poly-Games, convention de jeux sise à Sierre.
La convention La Tête dans la Lune est une de mes frustrations ludiques de ces dernières années, car tombant en même temps que celle du Dé qu’à Dents.
Une sinistre malédiction pèse sur la convention Octogônes: le dimanche, il pleut. Cette édition 2019 de la grande convention de jeux lyonnaise n’a pas fait exception, mais c’est le principal défaut qu’on peut lui trouver. Le fait qu’on finisse sur les rotules ne compte pas: c’est comme ça à toutes les conventions.
Et donc, je suis allé à Divinasion, comme chaque ann… Ah, non: l’année passée, je n’y étais pas. Bon, presque toutes les années, alors. Divinasion, c’est donc la conv’ en Sion. Ha! Ha!
Bon, faut quand même que je vous raconte ma virée en Auvergne, la « retraite ludique » dont je vous parlais la semaine passée. À l’origine, l’idée est de Jean-Paul, qui est originaire de la région: il avait appelé ça Le Buron des Joueurs.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après la très grande Trolls & Légendes, la grande et locale Orc’idée, me voici invité pour la deuxième Journée des mondes oniriques, à Charleville-Mézières.
En l’an de grâce deux mille et dix-neuf, qu’il soit connu que, sis en les locaux de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, dans les territoires helvètes, se tint la grande réunion ludique, dite Orc’idée, sous le haut patronage de Son Éminence la Cardinale.