Syncromind Project: Syncronized

Je ne sais plus lequel de mes contacts a mentionné, au passage, l’existence de Syncronized, album de métal instrumental de Syncromind Project, concept né de la rencontre entre le guitariste italien Enzo Ferrara et le batteur polonais Vito Lis – rencontre à mi-chemin, donc en Bavière; je n’invente rien.

David Maxim Micic: Bilo 3.0

Ah que qui ça? David Maxim Micic, vous dites? Et son album qui s’appelle Bilo 3.0, genre pour de vrai? Bon, je vais vous la faire courte: ce type, originaire de Belgrade, est le fils caché de Devin Townsend et Joe Satriani. Oui, rien que.

Car David Maxim Micic est une de ces surprises qui vous tombent dessus de nulle part – généralement à la fin de l’année, quand vous vous demandez ce que pourra bien être l’album de l’année – pour vous donner un sérieux vieux coup derrière les cages à miel.

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Scale The Summit: The Collective

Changement géographique, mais pas forcément de style avec le groupe texan Scale The Summit et son dernier album en date,  The Collective. Il s’agit ici d’un groupe de métal instrumental très technique, influencé à la fois par le métal progressif et par des musiciens dans un style jazz-métal comme Joe Satriani ou Cynic.

Autant dire que ce n’est pas forcément le genre recommandé aux amateurs de brutalités bas du front: la musique de Scale The Summit est complexe, mélodique et, si elle n’est pas toujours exempte de redites, elle est cependant servie par de jeunes musiciens qui ont tout de virtuoses.

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Elias Viljanen: Fire-hearted

Lorsque j’ai vu en boutique Fire-hearted, album solo d’Elias Viljanen, guitariste de Sonata Arctica entouré de guest-stars prestigieuses (Marco Hietala de Nightwish, par exemple), je me suis fait des idées. Ça m’arrive souvent, surtout en matière de musique. Il m’arrive également souvent d’être déçu.

Dans le cas présent, j’ai du mal à parler de déception: Fire-hearted est un bon album. Bon, c’est juste que là où j’attendais du power-metal à la Sonata Arctica ou quelque chose du même genre, je me retrouve avec du hard-FM lorgnant lourdement vers les premiers albums de Satriani.

Certes, c’est du bon, voire parfois du très bon hard-FM: “Last Breath of Love” et “Kiss of Rain”, pour ne citer que ces deux morceaux, sont très bien foutus, carrés, imparables. C’est juste que les albums de guitaristes est un genre que je pensais avoir oublié depuis une quinzaine d’année, époque où j’achetais sans coup férir tout ce qui ressemblait à du Vinnie Moore ou Yngwie Malmsteem.

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