“Obsolescence programmée”, de Benjamin Nathé

"Obsolescence programmée", de Benjamin Nathé

Londres, 2029: dans Obsolescence programmée, de Benjamin Nathé, la capitale britannique n’est plus qu’une cité bidonvillisée, dominée par les quelques rares corporations qui ont survécu au “Flash Crash” de 2023. Edgar Chaze, un mercenaire qui oscille entre idéalisme et pragmatisme, tente d’y survivre pourchassé par son dernier client.

“Le Guide occulte de Londres”, de Paula Dempsey

J’avais été attiré par plusieurs articles parlant du Guide occulte de Londres, signé Paula Dempsey, comme étant à la fois une aide de jeu précieuse pour tout jeu se déroulant dans les années 1930 avec une touche de « réalisme magique », une fausse autobiographie sur les milieux de l’occultisme londonien de l’époque et un whodunnit censé livrer les clés du meurtre de son auteur (fictif).

Sherlock Holmes

Franchement, je ne vois pas comment j’aurais pu ne pas aimer ce film: il y a Sherlock Holmes, d’une part, qui est un de mes personnages littéraires préférés. Ce Sherlock Holmes est interprété par Robert Downey Jr., qui avait déjà fait auparavant un Tony Stark de toute beauté dans Iron Man.

Il y a un Dr Watson, interprété par Jude Law, qui rappelle à notre bon souvenir que, loin d’être un faire-valoir fat et empoté, c’est un ancien médecin militaire et quelqu’un qui, à défaut d’avoir le sens de l’observation et le génie déductif du détective, a suffisamment de sens commun et d’esprit pratique pour douze Holmes.

Et puis, surtout, il y a cette reconstitution du Londres de la fin du XIXe siècle, si parfaitement steampunk avec ses ruelles pavées, ses débuts de technologies domestiques, ses lords so british, ses sociétés secrètes et autres machines infernales et son inframonde criminel crasseux. Je mentirais si je disais que ça n’était pas une des motivations premières pour voir ce film.

Je vais être très honnête: pour ce qui est du reste, il y a du bon et du moins bon. Le très méchant Lord Blackwood (Mark Strong), bien inquiétant mais un peu occulté par son intrigue, des scènes d’action nerveuses, mais qui tirent parfois un peu en longueur. Des effets spéciaux numériques impressionnants, mais pas toujours très réussis et un personnage féminin, Irène Adler (Rachel McAdams) qui agit comme le parfait contrepoint du duo Holmes-Watson, mais qui est un peu pâlotte pour être une véritable héroïne à part entière.

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Divinasion 2008: d’une guerre mondiale à l’autre

Ce week-end avait lieu l’édition 2008 de Divination, la convention de jeux de Sion. J’y étais déjà allé l’année passée et y avais copieusement râlé sur la dose de clopage qui y était la norme. Bonne surprise: la convention est devenue non-fumeur. Le thème étant le post-apo, j’ai décidé de ressortir “Dernier concert avant la fin …

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