Rhapsody: Prometheus

Rhapsody: Prometheus

Bon, techniquement, le nom de cet album est “Luca Turilli’s Rhapsody: Prometheus – Symphonia Ignis Divinus“, mais franchement, depuis que l’autre Rhapsody est devenu “of SteelFire”, il n’y a plus de raison de confondre et les sous-titres latins, ça fait un peu trop pompeux, même pour du métal symphonique. Même pour Luca Turilli.

 

Rhapsody of Fire: Dark Wings of Steel

Je pense que l’expression qui, pour moi, définit le mieux les albums de Rhapsody of Fire – à commencer par le dernier en date, Divine Wings of Steel – c’est “plaisir coupable”. Objectivement, le métal de l’ex-bande à Luca Turilli n’est pas très original, pas toujours très fin ni même très bon, mais il sonne juste à toute personne qui aime le métal symphonique, voire le métal tout court.

Rhapsody: Ascending to Infinity

Il faut pas croire, mais quand je fais des chroniques d’album, je fais toujours quelques recherches. C’est d’ailleurs en regardant deux-trois trucs sur ce nouvel album de Rhapsody, intitulé Ascending to Infinity, que je me suis aperçu qu’il y a désormais deux Rhapsody et celui-ci est le seul, le vrai, l’unique avec Luca Turilli.