Octogônes 2019

Octogônes 2019

Une sinistre malédiction pèse sur la convention Octogônes: le dimanche, il pleut. Cette édition 2019 de la grande convention de jeux lyonnaise n’a pas fait exception, mais c’est le principal défaut qu’on peut lui trouver. Le fait qu’on finisse sur les rotules ne compte pas: c’est comme ça à toutes les conventions.

Un week-end à bouffer du Lyon

OctoGônes 2016

Il y a des semaines comme ça où les événements s’entassent à grande vitesse. Techniquement, ça avait déjà commencé samedi passé avec le concours de cosplay à Yverdon (mes photos sont sur Flickr), le boulot n’a pas été en reste avec des réunions en rafale et ce week-end à Lyon va être plutôt actif. Jugez-en plutôt:

Octogônes 2015

Convention OctoGônes 2015, Double Mixte, Lyon (France)

Pour les rôlistes européens, s’il doit y avoir une grande convention francophone de l’automne, c’est certainement OctoGônes, sis dans la capitale des Gaules – autrement dit, Lyon. Pour cette nouvelle édition, l’événement a quitté l’Espace Tête d’Or, devenu trop étroit, pour investir une nouvelle salle: l’Espace Double Mixte, sur le campus universitaire de Villeurbanne.

OctoGônes 2014

S’il est un rendez-vous incontournable de l’agenda rôliste en automne, c’est sans doute OctoGônes, la convention lyonnaise – comme son nom l’indique. Rendez-vous centré autour du jeu – sous de multiples déclinaison, plateau, figurines, rôle et grandeur-nature – mais aussi avec de plus en plus d’acteurs des littératures de l’imaginaire, cette cinquième édition était des plus réussies.

Octogônes 2013

On reconnaît souvent les bonnes conventions au fait qu’on rentre à la maison sur un petit nuage, malgré la fatigue, et qu’il nous faut la semaine pour s’en remettre – ainsi que, pour un exposant, qu’on rentre avec beaucoup moins de stock qu’on est parti. L’édition 2013 d’Octogônes, la convention lyonnaise, en fait partie.

La fine fleur de 2 dés sans faces – plus moi pour rétablir l’équilibre – avait fait le déplacement en force, avec armes, bagages, bouquins et bières. Et, pour dire qu’on n’avait pas vraiment de nouveautés (l’actualité la plus récente étant la campagne lupanar et la mise en ligne de Tigres Volants en Creative Commons), on a presque tout vendu.

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Octogônes 2012

Il y a des conventions qui sont placées sous le signe de la malédiction ; c’est ainsi, on n’y peut pas grand-chose, mais ce n’est pas forcément rédhibitoire. Par exemple, cette convention lyonnaise d’Octogônes ne s’annonçait pas exactement sous les meilleurs auspices, mais elle s’est au final plutôt bien déroulée.

Le premier signe de gonade dans le potage a bien évidemment été le FAIL majeur de livraison pour cause de transporteur peu serviable. Puis, mes collègues de 2 dés sans faces (venus en masse: on était cinq sur le stand) se sont retrouvés dans un train qui percute un piéton – ce que les services ferroviaires, dans leur souci de l’euphémisme communicatoire, appellent une « accident de personne ».

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Le Lupanar est arrivé – mais pas au bon endroit

Ce soir, je décanille droit après le boulot pour Lyon et sa convention Octogônes, convention qui aurait dû marquer la sortie de la campagne Tigres Volants. “Aurait dû”, comme dans “ça n’aura pas lieu”: tous les exemplaires ont bien été imprimés et chargés dans le camion et ils arriveront bien vendredi après-midi, mais pas à Lyon. Tout a été livré dans l’entrepôt de notre distributeur, dans la banlieue parisienne.

Voyons les choses du bon côté: les boutiques seront approvisionnées. Ce qui est plus gênant, c’est que nous nous retrouvons, les potes de 2 dés sans faces et moi-même, privés de ce qui est notre seule actu (depuis deux ans, genre) pour un salon où nous avions fait le déplacement en masse, y compris en rameutant des illustrateurs (Alexandra Mottier et Lohran).

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Octogônes 2011

En fin de compte, Lyon, ce n’est pas si loin de Genève : un peu moins de deux heures de train, c’est à peu de choses près la durée d’un trajet à Sierre ou à La Tchaux. Du coup, la question est « pourquoi ne suis-je jamais allé à une convention à Lyon auparavant ? »

Cette édition 2011 d’Octogônes a beau n’être que la deuxième du nom, elle vient après une solide tradition d’autres conventions sise dans la « capitale des Gaules », comme disent les journalistes qui n’aiment pas les répétitions. Et si je n’ai donc aucune expérience des autres, je dois avouer que celle-ci est d’un fort beau gabarit.

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Noz: 20 ans et des poussières

Le double album live 20 ans et des poussières de Noz représente pour moi une première: c’est le premier album que j’achète en téléchargement seul. Je préfère toujours acheter des albums “physiques”, même si ce n’est pas très écolo, mais, dans le cas présent, l’alternative était de le commander sur France, avec des frais de port plus de conséquents (et, de mon expérience passée, des pratiques d’emballage douteuses).

Il faut dire que Noz et moi, c’est une longue histoire d’amour. Longue genre vingt ans, d’ailleurs, depuis un premier album reçu à Satellite au cours de mes années de glandages EPFLiens et une série de rendez-vous ratés, des concerts auxquels je n’ai pas réussi à assister. Le dernier album m’ayant quelque peu déçu, j’avais une petite appréhension sur celui-ci.

Première constatation: on en a pour son argent. Pas moins de trente morceaux couvrant les six albums studio du groupe (plus “Qui a tué Lorie Hamilton ?” paru sur un projet collectif), pour un double album qui sonne presque comme un testament pour ce groupe lyonnais injustement méconnu. Noz y déroule sur plus de deux heures sa musique, un rock énergique, mais classique, rehaussé par la présence d’une violoniste douée et, surtout, ses textes.

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