Premiers pas avec mon nouveau MacBook Pro

Ça y est! Ma nouvelle machine est enfin arrivée: un MacBook Pro 2.8 GHz, avec un demi-tera de disque, 4 GB de RAM et, surtout, un écran mat. Ah, j’en rêvais de ce nouveau portable à écran mat quinze pouces – au point d’envisager passer au 17″ si Apple ne se bougeait pas son arrière-train coté en bourse. Il a bougé, j’ai craqué et maintenant, il est à moIIIIIII!!!one

Excusez-moi: une rechute. Les médicaments commencent à faire effet, mais on n’est jamais complètement à l’abri.

Bref, nouvelle machine. Première constatation: moi qui croyait que mon ancien MacBook pro (la première génération) avait un design impressionnant, j’ai l’impression de voir une console de jeu soviétique, à côté de cette nouvelle machine (je devrais avoir l’habitude: je me suis dit la même chose en passant du G4 titane au MBP). La coque unibody est vraiment impressionnante, ajustée de façon quasi-parfaite; rien ne dépasse (ou peu s’en faut).

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Un jour, mon MacBook Pro viendra…

Il y a des jours où être un FBDM d’Apple, c’est pas évident!

En général, c’est plutôt facile: iPod de 160 Go, Mac Pro huit cœurs avec 2 To de disque, MacOS X 10.5, par exemple, sont des produits pour lesquels la question de l’acquisition s’est à peine posée.

Ces derniers temps, le crève-cœur majeur a été les derniers MacBook Pro. Avec sa coque en aluminium à la finition irréprochable, l’engin est beau et clairement un appeau à Mac-head dans mon genre. À un détail près: l’écran. Brillant. Façon miroir. Avec les reflets qui ne vont pas du tout.

Or donc, hier, Apple, au terme d’un keynote de Macworld 2009 qui a brillé pour son absence d’intérêt autre, a annoncé la sortie de la version 17″ de la bécane. Avec, ô surprise, une option “revêtement anti-reflets”.

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Heisenbug

Il n’y a pas grand-chose de plus frustrant que des problèmes d’informatique. Surtout quand il s’agit de quelque chose qui ressemble à un plantage majeur de disque dur. Surtout quand ça affecte sa machine de travail principale. Surtout quand c’est dans un contexte de travail stressant. À l’étranger. Et surtout quand le problème disparaît lorsque la machine est entre les mains d’un technicien. On appelle ça un heisenbug.

Petit retour en arrière: je suis à Mexico, pour la XVIIe conférence internationale sur le Sida. J’ai été embarqué pour faire la mise en page d’une feuille d’information quotidienne pendant la conférence. Évidemment, pour cela, j’ai pris mon MacBook Pro préféré: deux ans et demi, un caractère de cochon, mais une bonne puissance de calcul et surtout tous les logiciels du graphiste moyen. Et donc, le matin de la mise en page du premier numéro, crash-boum-argh! Pas de démarrage, pas de dossier système, des erreurs disque plein les dents.

Après avoir mis sur pied une solution de repli, à base d’ordi sous Vista en espagnol (double argh!) et de versions démo des logiciels ad hoc, je suis donc allé chez un des spécialistes Mac locaux (avec un interprète, parce que j’arrive à peine à commander une bière en espagnol). Le type allume la machine et tout fonctionne.

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Mon MacBookPro et moi: la vie sur la voie rapide

C’est donc fait: j’ai sauté le pas et acheté un MacBook Pro. Je sais, je suis faible.

Je pourrais bien évidemment avancer l’argument de la performance et de la rentabilité. Seulement, comme toutes les applications professionnelles que j’emploie ne sont pas encore optimisées pour processeur Intel, ça sonne un peu comme un concerto pour pipeau et orchestre.

Cela dit, la machine est belle! J’aimais bien mon vieux “titane”, qu je trouvais quelque part plus élégant que les nouveaux modèles en aluminium, mais souvent geek varie. À preuve, à peine le nouveau monstre déballé, celui-ci avait déjà délogé l’ancienne machine dans mon panthéon personnel des Bécanes Qui En Jettent.

À l’usage, c’est du vrai bonheur: sur les applications optimisées, le “bouncemark” (nombre de rebonds de l’icône dans le dock) est très bas. Sur les autres, c’est un poil plus rapide qu’avec un G4 à 800 MHz (bon, les 2 GB de mémoire aident bien, aussi). L’écran peut aisément éclairer une pièce obscure, les touches du clavier s’illuminent en basse luminosité, l’engin a Wifi et Bluetooth intégrés et un graveur de DVD.

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Le message obligatoire du Mac-addict sur les nouveaux MacTel

Or donc, Apple a annoncé ses nouvelles machines à base de processeurs Intel, avec six mois d’avance. Je ne vais pas m’étaler sur l’étendue de la révolution, d’une part parce que ça n’en est une que pour ceux qui le pensent (ou pour les développeurs; les utilisateurs, eux, ne verront pas grand-chose de nouveau), d’autre part parce que ça fait plus de six mois que l’annonce a été faite. Donc, Intel; vivons avec.

Étant vaguement sur le marché pour un éventuel remplacement de mon TiBook vieillissant, j’ai sérieusement dressé l’oreille à l’annonce des MacBookPro. Outre le fait que le nom est une offense au bon goût, l’idée de mettre mes grosses papattes graisseuses sur un portable bipro avec une carte vidéo de grand malade a aiguisé mon appétit.

Bon, ce ne sera pas pour tout de suite: d’abord parce que les premières machines ne sont pas disponibles avant février, ensuite parce qu’elles ne semblent d’ailleurs pas exactement finalisées non plus, enfin parce que les premiers rapports semblent montrer que, si la technologie est prometteuse, elle n’est pas encore exactement au point — et de toute façon, les applications qui tournent nativement avec les processeurs Intel arrivent au compte-goutte (les autres tournentvia une sorte decouche d’émulation).

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