The Arcane Order: Distortions from Cosmogony
On va continuer dans le brutal, en montant même d’un cran. Car ce Distortions from Cosmogony de The Arcane Order est largement plus death que mélo.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
On va continuer dans le brutal, en montant même d’un cran. Car ce Distortions from Cosmogony de The Arcane Order est largement plus death que mélo.
Continuons notre séquence death-metal mélodique, avec At Storm’s Edge, du groupe Aetherian, une formation découverte grâce à Angry Metal Guy.
Avec Afterworld, le nouvel album de Carcariass, j’inaugure une séquence de chroniques dans le genre death/black. Mélodique, certes, mais pas calmes.
Si je vous dis « groupe finlandais de mélodeath », vous me dites?… Comment ça « trop de choix »? Un de plus avec Stormbringers, de Before the Dawn.
J’apprends soudainement – genre, dix jours avant – qu’Aephanemer passe au Manoir Pub de Saint-Maurice, avec Askara et Lethal Technology. Ben, go.
Un groupe de metal portugais dont le nom commence par Moon?… Il s’agit ici de Moonshade, qui sort son deuxième album, As We Set the Skies Ablaze.
Et voilà cette quatrième saison de Radio-Erdorin dans la boîte, ou peu s’en faut. Il ne me reste plus qu’à finir le hors-série « Album de l’Année 2021 ».
Le death-metal mélodique joue sur le contraste entre métal brutal avec growl et compos mélodiques. Origin, d’Omnium Gatherum, pousse très loin ce concept.
S’il existe des groupes scandinaves qui font du prog-metal à l’australienne, Be’lakor et son nouvel album Coherence fait du death-metal à la scandinave.
Il m’arrive d’apprécier le death-metal, pour peu qu’il soit mélodique. Avec Beneath the Endless Rains, de Slow Fall, je suis plutôt comblé sur ce point.
Pour ces Restes du Samedi, un album acoustique d’Anneke van Giersbergen, du death-metal avec Nightfall et du mélodeath/indus pour Nuclear Winter.
Moment est à la fois le dernier album de Dark Tranquillity et le premier de ce groupe que je chronique. Eh oui, parfois je découvre la Lune.