Turdetans: Suite of Dreams
Turdetans est un groupe espagnol de rock progressif qui a eu la gentillesse de me faire parvenir Suite of Dreams, leur premier album.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Turdetans est un groupe espagnol de rock progressif qui a eu la gentillesse de me faire parvenir Suite of Dreams, leur premier album.
Aujourd’hui, je sors d’une semaine de congé. Et je n’ai bouclé le nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour août 2020 que dimanche soir.
Ça faisait un moment que j’avais envie de réactiver mon Cabinet des Curiosités pour parler de Deyss et de leur album Vision in the Dark.
Le rock progressif ne peut pas mourir parce qu’il ne sait pas s’arrêter. Illustration avec le nouvel album de Clepsydra, The Gap.
Dans ces Restes du Samedi, les EP, de Frost* (rock progressif) et de Vanlock (post-rock), plus un album au parcours mystérieux, de Ray Lamontagne (folk).
Pendragon est un groupe qui a une place spéciale dans mon cœur. Le nouvel album des Britanniques, Love Over Fear, sera-t-il une prophétie autoréalisatrice?
Checking For Echo est un projet solo néo-prog, né de la créativité de Jon Farley, et The War Is Never Won, concept-album sur l’immoralité de la guerre, est plutôt convaincant.
The False Awakening est le premier album du groupe de néo-prog polonais Yesternight, même si le groupe est actif depuis 2007.
Alors qu’on pourrait penser qu’à mi-décembre, la course au titre d’album de l’année est bâchée, voici que déboule IQ avec un nouvel album, Resistance.
Vingt-cinq ans après! Autant dire que Frat3r, troisième album des Suisses de Galaad, s’est fait attendre. À vrai dire, après la scission du groupe, peu après la sortie de Vae Victis, on ne l’attendait même plus.
Allez, vous reprendrez bien un petit peu de Restes du samedi? Avec Armed Cloud et The Dead Centuries, voici deux albums qui, dans l’absolu, sont pas mal du tout, mais pour lesquels je peine à faire une chronique pleine et entière, principalement par manque d’enthousiasme.
Je pense que toute cette histoire part d’un malentendu: Soul Secret n’est pas vraiment un groupe de metal progressif. De quoi je parle, me demandez-vous? Eh bien de l’avis peu favorable que j’ai pu émettre sur ce groupe, sur sa prestation au Very Prog Festival – ainsi que celui que je me préparais à annoncer sur leur dernier album, Babel.
Résumons: si je me base sur leur plus récent album, War Is Over, Von Hertzen Brothers est un groupe finlandais dont le nom, en anglais, est basé sur le patronyme à consonance allemande de ses membres et qui mélange classic-rock à l’américaine et néo-prog britannique. L’Internationale sera le genre humain.
Twelfth Night, c’est un peu le groupe que tu sors quand tu veux faire genre “chuis un vrai prog-head, je connais des groupes vraiment obscurs”. Fact and Fiction – The Definitive Edition est un triple album qui témoigne de l’impact de cette formation britannique qui, avec Marillion, Pendragon et IQ, a été à l’origine du néo-prog des années 1980.
Parmi les signes que l’on vieillit, il y a les groupes qu’on a adoré un temps et qui, à force des trucs médiocre, finissent par ne plus éveiller qu’un enthousiasme modéré. Témoin Arena et son nouvel album, “Double Vision”, qui s’avère plutôt pas mal malgré un côté convenu.
Je vous ai déjà raconté cette histoire: il y a plus de vingt ans, alors que j’étais parti pour – enfin! – voir Le Voyage de Noz à Satellite, je me prenais par surprise le groupe suisse Galaad en pleine tronche. Et aujourd’hui, en 2018, je retrouve ce groupe aussi jurassien que mythique en concert à Zelig, la petite sœur de Satellite, sur les terres de l’uni de Lausanne.
La question du jour: à quel moment un album cesse de ressembler à un hommage pour faire figure de pompage embarrassant? Over the Top, du groupe britannique Jump, est à deux doigts de faire figure d’illustration à cette interrogation.
Quelque part, IT est un cliché: un groupe londonien qui fait du rock progressif, oscillant entre les mélodies d’un Pink Floyd tardif et le néo-prog engagé à la Twelfth Night. We’re All in This Together, leur dernier album, mérite cependant plus que ce qualificatif lapidaire.
Généralement, quand un groupe qualifié de “progressif” se lance dans un double album studio, le chroniqueur moyen se méfie. Cela peut être très bon ou une monstruosité dégoulinante d’égo et d’ambition. Parfois les deux, mais rarement entre les deux. Dans le cas de Legends of the Shire, le dernier opus de Threshold, on est heureusement plus dans la première option.
Encore un album oublié de 2016: World of Grey, du groupe néerlandais The Aurora Project, que j’aurais sans doute complètement zappé si Neoprog n’en avait pas fait une chronique élogieuse. Personnellement, après écoute, je suis plus mitigé.