2017, année qui pète

Explosion

Je sais ce que vous vous dites: résolutions de nouvelle année, gnagnagna. Ouais, je sais, il y a de ça, mais c’est aussi l’occasion, d’une part de revenir sur l’année passée et de jeter un premier regard sur la nouvelle. Ce sera un peu du “le Alias, sa vie, son cul”, mais je vais aussi …

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Retour en Diaspora

"Dé-googlisons Internet!"

Ceux d’entre vous qui ont de la mémoire (ou un bon moteur de recherche) se souviendront peut-être de mes expériences passées avec Diaspora, le réseau social open-source. Pour être bref, ce n’était pas très positif. Pourtant, depuis quelques mois, j’y suis retourné et je suis actif sur Framasphère, le nœud Diaspora mis en place par Framasoft.

Légèreté, ouverture et création: mes résolutions 2015

Après le bilan, il est aussi l’heure de penser aux résolutions pour 2015. On va faire simple: ce seront grosso-modo les mêmes que pour 2014. Je vais donc continuer vers l’objectif de légèreté, vers l’exploration et la promotion de solutions open-source et continuer également dans le domaine de la création.

Mozilla et la corruption du libre

Un de ces quatre, il faudra que je vous fasse un rapport de ma transition vers plus de logiciels libres (spoiler: c’est contrasté). Je peux déjà vous dire que Firefox est devenu mon navigateur par défaut et que c’est sans doute la raison pour laquelle la récente annonce de la fondation Mozilla d’afficher des pubs dans le navigateur m’a quelque peu agacée.

Bitcoin, la fausse bonne idée?

À la lecture du dernier billet en date de Charles Stross, intitulé avec la subtilité coutumière de l’individu Why I want Bitcoin to die in a fire, je suis en train de réviser mon opinion plutôt positive sur cette monnaie.

Bon, je ne suis pas d’accord sur tout. Quand il mentionne le manque de régulations sur des activités illégales, telles que l’assassinat, le trafic de drogue ou la pornographie infantile, certes, mais l’argent liquide pose à peu près le même problème.

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Éloge funèbre d’un Internet libre et ouvert, par son assassin

J’avoue: c’est moi qui ai tué Internet. Oh, bien sûr, pas tout seul et pas volontairement, mais, objectivement, c’est ma responsabilité. La raison de cet aveu est à trouver dans un récent article de Slate, édition française, intitulé Notre Mai-68 numérique est devenu un grille-pain fasciste.

Il y a beaucoup à redire sur cet article, mais il met le doigt sur une tendance lourde, que ce soit pour Internet ou pour pas mal d’autres choses: si ça n’est pas pratique, ce n’est pas utilisé et, si ce n’est pas utilisé, c’est mort. Or, l’article en question souligne que nous autres, utilisateurs de base, n’allons plus sur Internet, mais sur une (petite) galaxie de sites qui n’ont plus vraiment de rapport avec la vision originelle d’Internet.

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Faites-le mal vous-même!

Avant de parler de l’article ‘Host your own’ is cynical, de tante.blog, je dois dire que j’ai beaucoup de respect pour les gens qui font tout eux-mêmes, y compris – et, sans doute, surtout – dans le domaine de l’informatique. Principalement parce que moi, j’ai du mal, pour rester poli.

Par contre, j’ai beaucoup de mal avec le snobisme do-it-yourself, qui consiste à dire que ceux qui n’y arrivent sont des branlos ou des moutons. Principalement pour les mêmes raisons, d’ailleurs; personne n’aime se faire traiter de branlo ou de mouton.

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À la recherche du nouveau lecteur de flux RSS

Donc, l’apocalypse n’aura eu que six mois de retard, vu que c’est pour juillet 2013 que Google a annoncé la fin de son service de flux RSS Google Reader. À moins que vous reveniez aujourd’hui de trois semaines au Tibet ou en Corée du Nord, vous en avez dû en entendre parler.

C’est ennuyeux. D’une part, parce que c’est un service qui était raisonnablement bien foutu et, d’autre part, parce qu’il avait une API qui lui permettait d’être intégré dans une foutraquée de services divers, avec synchronisation et tout. Et, surtout, parce que c’est ce dont je me servais, moi.

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Pour une poignée de bitcoins

Dans notre série “je suis l’équivalent geek d’une victime de la mode”, j’ai décidé de tester les Bitcoins. Officiellement, il s’agit d’une monnaie dématérialisée, décentralisée et open-source; officieusement, pour les francophones, c’est une excuse pour faire des jeux de mots foireux à base d’attributs virils et de canards.

Histoire de balancer un grand coup, toute cette histoire, c’est de la faute aux historiettes de Lionel “Ploum” Dricot, notamment du récent Le blogueur venu de demain (en deux parties), qui met en scène un blogueur qui utilise cette monnaie pour vivre. Mais, pour être honnête, ça faisait un moment que le principe me titillait un peu.

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Diasporaté!

Cela fait un petit moment que je me suis intéressé au réseau social Diaspora. Lancé en 2010, au moment des premières sérieuses alertes sur ce que l’on qualifiera charitablement de libertés prises par Facebook avec les données privées de ses utilisateurs, l’idée d’avoir un réseau social open-source et décentralisé faisait du sens.

En pratique, c’était moins brillant: après plusieurs faux départs, j’ai fini par m’inscrire sur unes des “nodes” de Diaspora (diasp.org) et j’y ai découvert un outil potentiellement intéressant, mais sérieusement bancal. 

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Changement d’adresse (électronique)

On va encore dire que je me fais une crise de la quarantaine, mais je pense sérieusement abandonner à la fin de l’année 2012 l’adresse électronique chez Span.ch que je trimbale depuis maintenant plus de quinze ans. J’ai encore un peu de temps, c’est vrai, mais c’est une adresse que j’ai donc utilisé depuis très longtemps et qui sert de “clé” sur un grand nombre de sites et pour un nombre plus restreint (mais bien concret) de licences.

Alors pourquoi changer? C’est principalement une question de sous: à l’époque (XXe siècle, dinosaures dans la prairie, tout ça), Span était mon fournisseur d’accès à Internet. Depuis, la compagnie a fait faillite et a été reprise par une autre société en Suisse alémanique, qui me fait payer environ cent cinquante francs suisses par an pour la seule boîte aux lettres. C’est cher. C’est surtout cher pour un service que, certes, j’utilise beaucoup, mais que je paie également ailleurs et que je n’utilise pas.

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Pourquoi je n’utilise pas OpenOffice

Ce n’est pas exactement la première fois que je me lance sur ce sujet, mais il se trouve que le dénommé Seb Sauvage, dont je suis le blog depuis quelque temps (grâce à Chassegnouf), vient de poster un billet intitulé Pourquoi j’utilise des logiciels libres/opensource qui explique parfaitement la raison pour laquelle je hais OpenOffice et consorts avec une haine plus intense que la lumière des milliers de soleils.

En gros, le problème n’est pas tant de travailler avec OpenOffice ou LibreOffice, mais de devoir changer de système. Et non, ce n’est pas pareil: les feuilles de style – pour prendre un outil de base, que j’utilise massivement tous les jours – fonctionnent de façon très différente, avec une ergonomie qui n’est pas sans rappeler l’utilisation d’une manivelle d’écluse en guise de robinet à eau potable.

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