Phideaux: Number Seven

Dans la série des signes qui tuent, il y a le fait qu’après plusieurs écoutes de Number Seven, le nouvel album de Phideaux, je ne savais pas trop quoi en dire, sinon des jeux de mots stupides du genre “c’est pas fait pour les chiens”. Heureusement, je me suis fait une écoute au casque, ce qui m’évite de faire une boulette.

Oups…

Bon, plus sérieusement, Xavier Phideaux, malgré son nom francophone, est un artiste new-yorkais qui fait du rock progressif que je sens fortement inspiré par les opéras-rock des années 1970, mais avec un traitement modernisé (genre plus de production et moins de patchouli). De ce point de vue, ça me rappelle un peu les premiers albums de Pure Reason Revolution, en plus lent et un peu moins aventureux.

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Phideaux: Doomsday Afternoon

Ce n’est pas sans une certaine hésitation que j’ai fini par acheter Doomsday Afternoon, le dernier album de Phideaux. Ce que j’en avais entendu ne m’avait pas convaincu outre mesure, mais c’est parce que cet album mérite d’être écouté dans son intégralité.

Phideaux (nom du compositeur principal, un New-Yorkais du nom de Xavier Phideaux) est une nouvelle preuve que le renouveau du rock progressif passe par un retour aux sources: les années 1970. Moderne dans sa structure et sa production, l’album s’inspire franchement des sonorités des groupes de rock prog de la grande époque: Genesis, Kansas, avec des touches d’Alan Parson. J’y entends même des touches des premiers albums de Marillion (Grendel!).

Les compositions sont majestueuses, avec des morceaux de bravoure tant instrumentaux que chantés; la présence de voix masculines et féminines apporte également une originalité et une fraîcheur bienvenues. À noter que Doomsday Afternoon est le deuxième album d’une trilogie.

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