Il y a des groupes qui annoncent la couleur, et plutôt deux fois qu’une. Par exemple, les Français de Morteville, dont le premier album est intitulé Mourir est vivre.
Quelque chose se passe dans le monde et les musiciens français y sont sensibles. C’est l’impression que me donne To Another Sun, de The Great Procession.
La Belgique, l’autre pays du… post-metal? Après My Diligence et Hippotraktor, voici Pothamus – il y a comme un thème dans les noms – et son nouvel album, Abur.
Je vais reprendre sans vergogne un artifice utilisé par de multiples chroniqueurs: Ridiculous and Full of Blood, de Julie Christmas, est fidèle à son titre.
Je ne sais pas si DVNE a senti la pression de donner un successeur à Etemen Ænka, mais, pour ma part, j’étais un peu fébrile avant d’écouter ce Voidkind.
À voir le titre, vous vous dites, « et allez, un groupe de post-rock! » Bien essayé, mais CYCLES, de wazzara, donne dans un style quelque peu différent.
Certaines expériences musicales passées auraient pu m’éloigner de groupes de dark ambiante, comme ce nouvel album de FVNERALS, Let the Earth Be Silent.
Résumé: en 2002 se crée Slumber, qui sort un unique album en 2004. Le groupe splite en 2011, mais se reforme sous le nom AtomA et sort Skylight en 2012.
Mairu, avec son premier album Sol Cultus, est un groupe qui implique des mots-clés tels que “Cult of Luna”, “progressif” et “black-metal atmosphérique”.
Des musiciens nés en dictature et qui se retrouvent exilés dans un pays en guerre. C’est Dymna Lotva et leur album, The Land under the Black Wings: Blood.