Noveria: Aequilibrium
Ah, le power-metal progressif, ce genre génial quand il est bien fait! Eh bien Noveria, groupe italien de power-prog, nous propose Aequilibrium.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Ah, le power-metal progressif, ce genre génial quand il est bien fait! Eh bien Noveria, groupe italien de power-prog, nous propose Aequilibrium.
Compagnons, préparez-vous à repartir pour le lointain futur de l’an 1992! Gloryhammer est de retour avec Legends from Beyond the Galactic Terrorvortex.
Ce qui est bien, avec les vacances, ben, c’est que c’est les vacances. Ce qui est moins bien avec les vacances c’est que j’ai plein d’excuses pour ne pas bosser sur le nouvel épisode de Radio-Erdorin. Et, donc, à force d’avoir plein de temps, je finis par être en retard.
C’est Angry Metal Guy qui m’a fait découvrir Graveshadow via leur dernier album, Ambition’s Price. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ne sont pas fans de ce qu’ils appellent le « nightwishcore » – le metal symphonique à voix féminine. Pourtant, cet album a trouvé grâce à leurs oreilles et j’ai décidé de m’y intéresser.
Secret Sphere est un nom qui ne m’est pas inconnu; j’avais chroniqué en 2011 leur album Archetype – le bien nommé. Depuis, les Italiens ont fait un petit bout de chemin et ont sorti The Nature of Time, leur huitième album, en 2017.
Parmi les thèmes dans l’air ces temps-ci, le metal oriental semble avoir la cote. Après le concert d’Orphaned Land et la découverte consécutive de Subterranean Masquerade, voilà-t-y pas que Myrath revient avec un nouvel album, Shehili!
Alors oui, vu que j’ai chroniqué leur précédent en album en décembre, ça peut paraître court de balancer le nouvel album de Beast in Black, From Hell with Love, à peine six mois plus tard. Oui, mais j’avais découvert Berserker sur le tard, avec le concert de Nightwish dont ils faisaient la première partie.
Dans la série “comme-son-nom-l’indique-metal”, voici Rhapsody of Fire, groupe de metal symphonique, et son album, The Eighth Mountain. Au moins, sur ce point, on n’est pas déçu (à part que ce n’est pas leur huitième album). Musicalement, c’est autre chose.
Il est temps de reparler du plus grand groupe de metals de tous les temps, des géants transalpins métamorphes qui honorent notre genre musical préféré par leurs albums profonds et… Ouais, bon, on va parler de Stairway to Valhalla, le nouvel album de Nanowar of Steel.
Alors on ne va pas se mentir: au titre d’album le plus original de l’année, The Fallen King du groupe italien Frozen Crown n’a aucune chance. Je veux dire, même le nom du groupe et le titre de l’album sont de gros clichés. N’empêche que ce power-metal ultra-mélodique à voix féminine dépote bien!
Il y a des groupes qui, sur le papier, ne font pas envie. Prenez Beast in Black: si je vous dis que leur premier album, Berserker, ressemble à un croisement très eighties entre Iron Maiden et Europe, avec des bouts de dance-music dedans, il y a toutes les chances que vous me jetiez des objets lourds à la tête. Eh bien vous auriez tort.
Vous savez comment on définit un week-end de folie? C’est quand on se fait deux concerts à deux jours d’intervalle. Parce qu’après Le Voyage de Noz samedi, j’ai repris les protège-tympans et le matos photo pour aller voir Nightwish à l’Arena de Genève.
Eh oui, vous ne rêvez pas: on est le 26 du mois et il y a déjà un nouvel épisode de Radio-Erdorin, sur YouTube et sur Peertube! En fait, ce n’est pas un épisode habituel, mais un hors-série dédié au Very Prog Festival. J’aurais aimé le sortir la semaine passée, mais à ce moment, j’étais transformé en usine à morve et je n’arrivais pas à aligner trois mots sans tousser.
Je ne vais pas vous mentir: s’il y a un groupe dont je n’attendais pas grand-chose lors de leur passage au Very Prog Festival, c’est bien DGM. Chose amusante, c’est aussi le seul de tous les groupes présents ces deux soirs que j’avais déjà vu. Cette impression s’est vite dissipée à l’écoute de The Passage, leur dernier album en date.
Quand on pense “groupe de metal avec une chanteuse”, on associe souvent “metal symphonique à la Nightwish”. Dans le cas de Kobra and the Lotus, groupe canadien au nom atypique qui vient de sortir un double album intitulé Prevail, on assez loin des standards nordiques du genre.
Il faudra un jour qu’on trouve un nom plus simple pour le power metal progressif symphonique que joue des groupes comme Borealis. En attendant, on peut aussi dire merde aux étiquettes et écouter ce nouvel album, The Offering.
Il fut un temps où j’avais cette théorie – idiote, mais amusante, comme beaucoup de mes théories – que Serenity et Kamelot était le même groupe. La sortie de The Shadow Theory, dernier album en date de ces derniers, quelques mois après Lionheart est un clou de plus dans le cercueil de cette théorie. Tant pis.
Je ne savais pas trop à quoi m’attendre avec Apex, le dernier album en date du groupe Unleash the Archers. Plusieurs des chroniqueurs de Angry Metal Guy l’avaient mis dans leur top 2017, l’intitulé du groupe ou de l’album auraient pu le classer autant dans le black-metal que dans le prog. Mais ça avait l’air cool.
Spoiler: c’est cool.
J’ai longtemps hésité entre faire cette chronique de Fragments of Reality, album du groupe finlandais Corona Skies, et me contenter d’une version abrégée pour les Restes du samedi de demain. J’avoue: malgré tous ses défauts, cet album m’amuse.
En règle générale, j’avoue volontiers une tendresse coupable pour les albums de power-metal symphonique, malgré tout leurs aspects kitsch et leurs claviers “pouët-pouët-licorne” – selon l’expression d’une amie. Pourtant, j’ai du mal avec Lionheart, dernier opus en date de Serenity.