Les restes en noir du samedi: Icare / Saor
La thématique de ces Restes du Samedi, c’est le black-metal et, plus précisément, deux groupes vus récemment au Wild Boar Fest: Icare et Saor.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
La thématique de ces Restes du Samedi, c’est le black-metal et, plus précisément, deux groupes vus récemment au Wild Boar Fest: Icare et Saor.
En juin 2019, le Wild Boar Fest célébrait La Dernière Messe, un festival black-metal. Eh bien même pas mort: le Wild Boar Fest revient pour une 6e édition!
Moment de pure joie, en apprenant que Saor allait passer en concert pas loin, puis moment de pure panique, en réalisant que je n’avais pas écouté Origins.
Des fois, j’ai des collisions d’agenda amusantes. Par exemple, le concert de Saor à Lyon, avec Catubodua et Cân Bardd, le même jour que le Lausanne Fantasy.
Je ne sais pas s’ils se sont donné le mot, mais avec ce nouvel album de Saor, Forgotten Paths, c’est le troisième album récent de black-metal atmosphérique tendance folk – ce que j’appelle « black Oldfield » que je chronique. Notez bien que je ne me plains pas, non plus.
Uchronie prog: et si Mike Oldfield avait fait du black-metal atmosphérique? Bon, c’est foireux, parce que plus de quarante ans séparent Tubular Bells de ce Guardians de Saor, découvert après une chronique particulièrement enthousiaste de Angry Metal Guy.