Irrwisch Terminal, une nouvelle dans l’univers de Tigres Volants

Bon, je ne vais pas continuer à tourner autour du pot (blague eyldarin) plus longtemps: la nouvelle dont je vous parlais en début de semaine est en ligne, sous le titre Irrwisch Terminal. J’avoue: le titre n’est pas vraiment l’élément qui me satisfait le plus dans ce texte.

L’histoire, en résumé, c’est une enquête sur une navette partie d’un cargo de Singapore, en orbite autour d’Irrwisch, charmante planète de la Frontière, et qui n’arrive jamais à sa destination. Elle implique un des responsables de la sécurité de ce qui est sans doute un des starports les plus complexes de la Sphère et une jeune agent highlander qui débarque comme un chien dans une partie de pêche à la dynamite (le jeu de quille, ce n’est pas trop le style de l’endroit).

Je ne vous cacherai pas que c’est un peu sexe, parce qu’on ne se refait pas.

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Tigres Volants: Écriture en roue libre

“Au commencement, il y avait une île. Après, il y a eu un starport, mais les choses sont un peu plus compliquées que cela. OK, mauvais exemple : les choses sont toujours plus compliquées, surtout quand on doit gérer dix mille ans d’histoire, avec des Eyldar, des Atlani et des Siyani. Ah, et maintenant, de Terriens. Ne pas oublier les Terriens : d’abord, parce que ça les vexe, mais surtout parce que, pour donner des coups de pieds dans la fourmilière, ils sont très forts.”

Ainsi commence un texte que je me suis soudainement mis à écrire vendredi, dans le train entre Bruxelles et Marloie (un peu avant de prendre une gamelle, mais ça n’a aucun rapport). À l’origine, il y avait ce rêve de starport dont je vous avais déjà parlé, mais on va dire que c’est de la faute d’Éric Nieudan.

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Le premier starport

Le premier starport

Le starport et le starport

Je fais souvent des rêves étranges et pénétrants. Je n’en parle pas dans ce blog parce qu’en général, ils n’ont soit aucun sens qui vaille la peine d’être relevé, soit parce qu’ils concernent des sujets que je me refuse à discuter en public, ma grivoiserie ayant ses limites. Le plus souvent les deux à la fois, ce qui n’est vraiment pas agréable.

Cette nuit cependant, au milieu du galimatias subconscient habituel, une image claire et forte m’est apparue. Je me trouvais sur une structure, une île – peut-être artificielle – dans une baie. Cela semblait être un port pour navires, mais également pour quelques engins volants; je me souviens y avoir vu une soucoupe volante atterrir. La structure était en bois, pierre et toile, dans une architecture rappelant assez le style éco-chic qui est en vogue ces jours. Face à moi, sur une des rives, il y avait un immense aéroport/starport, avec un trafic très intense: avions et vaisseaux s’y posaient et décollaient à une cadence effrénée.

La structure était typique des aéroports modernes, avec des touches futuristes. J’avais la sensation que le port sur lequel je me trouvais était en même temps un concurrent à celui d’en face et une sorte de point de passage obligé. Dans le demi-sommeil qui précède le réveil – quand celui-ci n’est pas forcé par une sonnerie stridente, s’entend – j’ai commencé à rationaliser les images que j’avais vues. Rarement je n’avais pas eu l’impression d’avoir, un bref instant vécu dans l’univers de Tigres Volants.

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