Threshold: Dividing Lines
J’étais prêt à écrire une chronique mitigée sur ce nouvel opus de Threshold, Dividing Lines, avant de lui consacrer quelques écoutes supplémentaires.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
J’étais prêt à écrire une chronique mitigée sur ce nouvel opus de Threshold, Dividing Lines, avant de lui consacrer quelques écoutes supplémentaires.
Généralement, quand un groupe qualifié de “progressif” se lance dans un double album studio, le chroniqueur moyen se méfie. Cela peut être très bon ou une monstruosité dégoulinante d’égo et d’ambition. Parfois les deux, mais rarement entre les deux. Dans le cas de Legends of the Shire, le dernier opus de Threshold, on est heureusement plus dans la première option.
Qualifier le groupe anglais Threshold, dont le nouvel album For the Journey vient de sortir, de “métal progressif” est peut-être un peu enthousiaste. Disons les choses ainsi, c’est une forme de métal progressif qui est plus proche du power-métal et du hard-FM que des acrobaties ultra-techniques d’un Animals As Leaders, par exemple.
Et allez donc, encore une chronique difficile à écrire, mais cette fois-ci pour une raison différente. Dit simplement, j’aime bien Threshold, surtout après leur passage au Night of the Prog 2011, mais leur nouvel album, March of Progress, ne me convainc qu’à moitié.
Première journée du Night of the Prog Festival, le 8 juillet 2011. On commence par des revenants, des jeunots doués, des grands noms de la nouvelle et de l’ancienne génération.
Décidément, il est dit que je vais passer mes mois de juillet en Allemagne! Cette fois-ci, pas pour le travail, même si je risque tout aussi peu de dormir: le sixième Night of the Prog Festival, qui se tient dans la Lorelei, affiche un tel programme que j’ai acheté les billets avant de discuter.