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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag voyage

« Du coin de l’œil », de Nicolas Bouvier

Nicolas Bouvier a encore des choses à nous dire. Du coin de l’œil propose une collection de textes de l’écrivain-voyageur sur la photographie.

Atlas Obscura

Je me suis fait offrir un gros bouquin qui me faisait de l’œil: l’édition française de Atlas Obscura, qui recense des destinations bizarres.

Tonton Alias au Night of the Prog Festival

Il y a des fois où je devrais me méfier de mon enthousiasme. À dire vrai, je soupçonne que je devrais toujours me méfier de mon enthousiasme. Témoin mon départ pour cette nouvelle édition du Night of the Prog Festival, sis au Loreley Freilichtbühne, dans la vallée du Rhin.

“Il faudra repartir”, de Nicolas Bouvier

Eh oui, encore un livre de Nicolas Bouvier! Encore faut-il préciser que ce Il faudra repartir n’est pas à proprement parler un livre, mais une collection de ce que l’on pourrait appeler vulgairement des fonds de tiroir, publiés douze ans après la mort de l’auteur. Seulement, quand il s’agit de Nicolas Bouvier, je pourrais citer plusieurs auteurs qui n’arrivent pas, dans leurs ouvrages publiés, à la cheville de ses fonds de tiroir.

“Chroniques birmanes”, de Guy Delisle

C’est donc dans le plus complet désordre que je conclus, avec ces Chroniques birmanes, le “quadriptyque” autobiographique de Guy Delisle, dessinateur de bande dessinée et animateur en dessin animés, globe-trotteur pour des raisons d’abord professionnelles, puis familiales. Chronologiquement, il se situe entre Pyongyang et les Chroniques de Jerusalem.

« Ti-Puss », d’Ella Maillart

Les histoires de chat finissent mal, en général. Autant vous prévenir tout de suite : Ti-Puss, d’Ella Maillart, n’y fait pas exception. C’est une belle histoire de chat, mais qui se conclut sur une note douloureuse.

“Chroniques de Jérusalem”, de Guy Delisle

Je sais, c’est mal: après Pyongyang, j’attaque Chroniques de Jérusalem de Guy Delisle sans passer par les autres cases et, du coup, c’est le bordel compl… euh, ben non, en fait. Certes, je suppose que si j’avais lu les autres ouvrages à peu près dans l’ordre, je verrais peut-être des choses différentes dans le dernier tome des aventures vécues de ce dessinateur québecois. Peut-être. J’en doute un peu, notez.

“Oasis interdites”, d’Ella Maillart

En 1935, Ella Maillart, accompagnée du journaliste anglais Peter Fleming, part de Beijing (qu’on appelait encore à l’époque Pékin) en direction du Sinkiang, alors interdit aux étrangers pour cause de guerre civile (et d’autres grenouillages géopolitiques). Oasis interdites est le récit de ce voyage de plus de six mois. 

“Des Monts célestes aux sables rouges”, d’Ella Maillart

En 1932, Ella Maillart, jeune Suissesse assoiffée de grands espaces, parcourt l’Orient soviétique: Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan; elle écrit plus tard son récit de voyage, Des Monts célestes aux sables rouges

“Pyongyang”, de Guy Delisle

Non, je n’avais jamais lu Pyongyang, le roman graphique de Guy Delisle, dessinateur québecois parti en Corée du nord pour superviser la production d’un dessin animé en 2001. Oui, j’ai un peu honte, mais un peu seulement.

“L’échappée belle”, de Nicolas Bouvier

L’échappée belle, sous-titré “éloge de quelques pérégrins”, de Nicolas Bouvier, n’est pas ici un livre de voyages – encore que – mais plutôt un livre sur les voyages et les voyageurs.

Zone de confort

Cet article est le numéro 3 d'une série de 3 intitulée Dubaï-Dacca 2011

Il est 10 h 30 à Dacca, Bengladesh, lorsque j’écris ces lignes dans le guest house de notre programme local et je n’ai aucune envie de sortir. Pour tout dire, j’ai un peu peur.

“L’épopée de la Croisière jaune”, de Jacques Wolgensinger

C’est Psychée, à qui je parlais de mon amour immodéré pour L’Usage du monde, qui m’a donné envie de lire L’épopée de la Croisière jaune de Jacques Wolgensinger.

“L’Usage du monde”, de Nicolas Bouvier

Les carnets de voyage de Nicolas Bouvier (mais je vous conseille de lire plutôt la version anglaise de la page, bien plus complète), dont L’Usage du monde est la première partie, entraient jusqu’à peu dans l’immense catégorie, dite des “classiques que je n’ai pas lu”.

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