Pierre Pevel est à l’origine d’une de mes grandes frustrations littéraires et de sa résolution heureuse, avec la parution récente des trois volumes du Paris des Merveilles. En effet, après avoir lu et apprécié Les Enchantements d’Ambremer, il y a quelques années, je n’avais jamais pu mettre la main sur sa suite, L’Elixir d’Oubli. Et c’est donc ces deux ouvrages qui ont été réédités chez Bragelonne, enrichis d’un troisième, Le Royaume Immobile.
Un des sujets récurrents de ridicule, sur les réseaux sociaux ou dans la vraie vie, c’est la musique de merde. Pas seulement la musique qu’on n’aime pas: la vraie grosse soupe bien daubesque que l’on nous sert à longueur d’antenne. Mais, derrière les mèmes rigolards, je me pose deux questions: qui écoute ça et, surtout, pourquoi ceux qui se moquent n’écoutent-ils pas autre chose?
Le monde est rempli d’endroits où je ne suis jamais allé; Toulouse est de ceux-ci. Du coup, mon passage à RPGers coïncidant avec le début de mes vacances, j’ai décidé d’en profiter pour prolonger mon séjour d’un ou deux jours, histoire de découvrir la « ville rose ».
Dans la famille « convention de jeu de rôles à perpette », je voudrais RPGers. J’en avais beaucoup entendu parler, comme une des conventions françaises à ne pas rater, mais en y regardant de plus près, les étoiles étaient moyennement propices, principalement pour cause d’éloignement.
Après le livre de base et le livret de l’écran, c’est au tour de La Bibliothéque tachyonique d’être publiée sous licence Creative Commons.
On est en mai 1968, à Paris. Antoine, Brigitte, Adèle et les autres sont jeunes, ils ont la rage, et ils ont aussi des pouvoirs extraordinaires: ce sont les protagonistes de La République des Enragés, de Xavier Bruce.
Pour cette découverte pur prog qu’est Cactus, de Umpfel, c’est Neoprog que je dois remercier. Encore que “remercier” n’est peut-être pas le terme le plus approprié, puisque ce duo norvégien me laisse des impressions mitigées.
Je dis souvent que le post-rock est un genre qui souffre d’un manque d’un souffle original. Le quatuor texan Sans Soleil vient peut-être rectifier ce paradigme avec leur EP A Holy Land Beneath a Godless Sky, qui mêle post-rock, post-metal et violon alto.
Alerte copinage: The Odd Gallant, projet de rock progressif, est le fait du musicien français Guillaume Cazenave, qui m’a contacté pour parler de AM. Ceci est donc une forme de service de presse et je suis du coup mal placé pour dire du mal de son premier album (sous ce nom de projet; son cinquième en tout). Ce qui tombe bien, parce que ce AM est objectivement plutôt bon.
Il est 15 h 45 à Washington, 21 h 45 à Paris, 12 h 45 à Mountain View, 5 h 45 au Japon. One Minute, le feuilleton numérique de Thierry Crouzet, c’est l’histoire de cette minute précise. Celle où la vidéoblogueuse Sara Cash a annoncé que les radio-télescopes de la planète avaient capté un message extra-terrestre. Juste avant qu’une panne électrique ne plonge la planète dans le noir complet.
Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste “excellent”?
Un des premiers conseils que j’ai entendu quand j’ai commencé à faire de la photo – c’est à dire, quand j’ai acheté mon premier reflex – a été “faut shooter en RAW“. Les gens qui me connaissent pourront facilement déduire que ma réaction initiale a été “NAN! J’VEUX PAS!”, suivie assez rapidement par un “bon, je vais quand même essayer”.
C’est un peu par hasard que Jumper, roman “jeune-adulte” de Steven Gould, a atterri dans ma pile de lecture. Je l’ai acheté en numérique dans le cadre d’un Humble Bundle il y a quelque temps déjà et j’ai fini par l’ouvrir après avoir terminé Le Vaisseau ardent.
Au vu de mon bilan Flattr pour le mois de juillet 2015, la question se pose de nouveau: tendance lourde ou sécheresse saisonnière? Car les recettes se sont élevées à €7.53, ce qui est le point le plus bas depuis décembre 2012. Dans le même temps, mes dons sont toujours de €10, mais avec 39 clics.
En attendant la prochaine navette pour Bételgeuse via Orion et les Perséides, j’ai Helios/Erebus, le dernier album de God Is an Astronaut, dans les oreilles. Via les systèmes haptiques de ma combinaison, je peux sentir les vents solaires d’étoiles inaccessibles, les rayonnements gamma de quasars invisibles; pour un peu, je pourrais presque goûter l’herbe de l’Irlande, terre natale de ces fleurons du post-rock.
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