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Blog à part

Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

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Fullmetal Alchemist: The Sacred Star of Milos

Je réalise à l’écriture de cette chronique sur le film Fullmetal Alchemist: The Sacred Star of Milos que je n’ai jamais dû vous parler de la série de dessin animé japonaise qui va avec. C’est un peu très con, parce qu’entre son côté steampunk tardif, son contexte géopolitique complexe et ses composants mystico-magiques, elle a tout ce qu’il faut pour appuyer sur mes boutons préférés. Blague eyldarin. Ou pas.

Pour une campagne « moi, rôliste »

Bon, ce n’est pas tout ça de dénigrer les petits camarades qui se fourvoient dans les attaques de moulins à vent, que pourrions-nous faire pour contrer les accusations de pédofachosatanisme crypto-anarchocommuniste qui pèsent sur le jeu de rôle en général et ses joueurs en particuliers? Et, par « nous », j’entends les rôlistes en général, mais surtout les blogueurs actifs.

Overhead: And We’re Not Here After All

« Quand les hommes de cent trente kilos disent certaines choses, ceux de soixante les écoutent », faisait dire Michel Audiard à un de ses personnages. De même, quand un chroniqueur de Prog-résiste (connu sous le nom d’Acritarche) dit quelque chose, comme le fait qu’Overhead est un très bon groupe de néo-prog finlandais, le fan l’écoute et achète le premier album qui lui tombe sous l’iTunes, à savoir And We’re Not Here After All.

Petit traité de surmédiatisation à l’usage des rôlistes

Imaginez un gros barbare qui n’aime pas le flan au caramel. Ça arrive. Or, ce barbare arrive dans une pièce dans lequel il y a un flan au caramel. Il sort sa grosse masse d’arme (+2 contre les flans au caramel) et donne un gros coup dedans. Résultat, il y a du flan au caramel partout dans la pièce – y compris sur le gros barbare qui n’aime pas le flan au caramel. Maintenant, imaginons que ce gros barbare s’appelle Streisand. Ça arrive aussi.

Jour J: Paris brûle encore

Le 29 mai 1968, en pleines manifestations étudiantes, le président français Charles de Gaulle tente de rallier les troupes françaises en Allemagne. Interprétant son geste comme une tentative de fuite, la foule prend d’assaut l’Élysée et le « Grand Charles » meurt. C’est le début de la Guerre civile française et le point de divergence de Paris brûle encore, huitième volume de la collection de bande dessinées uchroniques « Jour J ».

Si vous voulez mon avis, Men in Black 3 est sans doute la démonstration qu’on peut faire quelque chose de raisonnablement agréable sur des prémisses objectivement pas folichonnes: un film pop-corn, avec peu de matière, beaucoup de sucre et de trucs éclatés avec des trous au milieu. Et si vous ne le voulez pas, lisez le blog de quelqu’un d’autre!

Frames: In Via

Deuxième album de Frames, formation allemande de post-rock instrumental, In Via corrige un certain nombres de faiblesses de Mosaik, son premier album, et apporte quelques changements de directions, parfois bienvenus, mais aussi plutôt convenus. C’est un peu dommage, quelque part, mais pas rédhibitoire non plus.

Les auteurs de science-fiction contemporains ont-ils peur de l’avenir?

Et boum! Encore un (semi) pavé signé Charles Stross que cet essai intitulé SF, big ideas, ideology: what is to be done? et résumé par Warren Ellis en « Charles Stross tabasse la SF avec un bâton merdeux ». Merci, Warren…

Storm Corrosion

Alors, en achetant ce Storm Corrosion, album éponyme fruit de la collaboration entre Steven Wilson (Porcupine Tree et un million d’autres projets) et Mikael Åkerfeldt (Opeth), vous vous attendiez à du gros métal qui râpe et qui pète, hein? Naïfs que vous êtes! Pour reprendre une tournure de phrase que j’avais déjà utilisé précédemment, il y a dans cet album considérablement plus de corrosion que de storm.

Sonata Arctica: Stones Grow Her Name

Sacrés Finlandais! Sonata Arctica revient avec un nouvel album, Stones Grow Her Name pour nous emmener là où on ne les attendait pas. C’est assez leur truc, en fait, de faire des albums qui se suivent, mais qui ne se ressemblent pas vraiment: après un précédent album épique, cet album revient vers des terres plus progressives. Bon, « plus  progressif » ne veut pas forcément dire « progressif », ni même « mieux », d’ailleurs. Ça se saurait, sinon.

L’effet Ghislain

Bon, suite à une visite chez l’ophtalmo hier, j’ai les yeux encore en vrac: pupilles dilatées, ce qui rend la lumière un peu douloureuse et, du coup, tout travail sur l’ordinateur pénible. Donc, en lieu et place d’un vrai billet, une petite note sur l’impact du copinage éhonté sur ce présent blog, qui peut se résumer ainsi: Ghislain Morel a répercuté dimanche sur Facebook mon article sur le dernier CD du Naheulband.

Résultat: plus de 420 visiteurs uniques en une journée, soit le triple d’un jour normal. Pas mal pour un dimanche!

Irrwisch Terminal: leçons et suite

J’avais prévenu: ma nouvelle Irrwisch Terminal dans l’univers de Tigres Volants était une expérimentation à plus d’un niveau. D’une part, au niveau de la méthode d’écriture: un premier jet plus ou moins écrit à l’arrache, dans le train entre la Belgique et Genève. Ensuite au niveau de l’envie d’écrire de la fiction dans un format un peu plus accessible au lecteur lambda que des scénarios de jeu de rôle.

Deus Ex: Human Revolution

Bon, maintenant que j’ai fini Deus Ex: Human Revolution, sorti sur Mac tout récemment, je vais pouvoir télécharger Diablo III. Comme ça va prendre une certain temps, je vais quand même vous parler un peu de ce jeu (Deus Ex, donc, je précise pour ceux qui n’auraient pas lu le titre de cet article; ne riez pas: ça arrive).

Naheulband: T’as pas le niveau!

Avant que je ne vous parle de T’as pas le niveau!, le nouveau cédé du Naheulband, je dois à l’honnêteté intellectuelle de mentionner que je connais bien Ghislain le Voleur (qui commente d’ailleurs assez souvent ici même) et que j’ai même la faiblesse de croire que c’est un ami. Du coup, ne comptez pas trop sur moi pour jouer les rabat-joie.

C’est un peu à reculons que je suis allé voir Dark Shadows, le dernier film du tandem infernal Tim Burton/Johnny Depp. D’une part, parce que ma dernière expérience avec ces deux zoos, nommément Alice in Wonderland, ne m’avait pas exactement laissé un souvenir impérissable, et d’autre part, parce que je n’aime pas les vampires. La seule chose qui m’avait à peu près convaincu, c’était la bande-annonce.

Arjen Anthony Lucassen: Lost in the New Real

Oh, cool! Lost in the New Real, un nouvel album du multi-instrumentiste métaleux danois Arjen Anthony Lucassen, sur une thématique de science-fiction, avec Rutger Hauer lui-même à la narration (dans le rôle du « Dr Voigt-Kampf », ben tiens!). Que pourrait-il arriver de mal? Euh, ben, en fait, à peu près la même chose que sur les précédents albums de l’individu.

Petit burn-out rôliste?

Bon, ne dramatisons pas: je ne vais pas brûler mes bouquins de règles et me retirer dans un monastère bosno-moldave pour y méditer sur la vacuité de l’existence face au Grand D20 Dans Le Ciel, mais n’empêche que, depuis la partie de Feng Shui de ce samedi, je me pose quelques questions existentielles. Au niveau ludique, tout au moins.

Anathema: Weather Systems

Chat échaudé craint l’eau froide, dit-on et, du coup, ce n’est pas sans une certaine appréhension que j’ai posé sur la platine (virtuelle) Weather Systems, le nouvel album d’Anathema, après le piteux Hindsight et malgré les plutôt bons We’re here because we’re here et Falling Deeper. Un album sinon concept, du moins avec un thème météorologique prononcé. Ce qui est assez bienvenu pour un groupe de rock atmosphérique…

Leech: If We Get There One Day, Would You Please Open The Gates?

Le moins qu’on puisse dire avec Leech, c’est qu’ils ne se pressent pas pour faire des albums: If We Get There One Day, Would You Please Open The Gates? est leur quatrième en quatorze ans. Normal, me direz-vous: ce sont des Suisses! Ha, ha, humour. Bon. En même temps, celui-ci et le précédent sont vraiment bien foutus, ce n’est donc pas très gênant.

« Sanshôdô : La voie des trois vérités », de Jean Millemann

Autre bouquin découvert lors de Zone francheSanshôdô : La voie des trois vérités, de Jean Millemann m’a été vendu par l’auteur comme tapant dans le même concept que Tigres Volants, à savoir le choc de culture. Vente suivie par une dédicace chantée que je soupçonne fortement influencée par l’impressionnante collection de boissons alcoolisées qui tapissait le stand, mais passons.

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