Ma lecture de Shadow of Freedom part d’un malentendu: j’ai cru qu’il s’agissait du nouveau tome de la saga de science-fiction Honor Harrington, de David Weber. Or, si cet ouvrage se déroule bel et bien dans le Honorverse, il s’agit d’une série annexe intitulée Saganami Island.
Quatrième et dernière saison pour Continuum, la série canadienne de voyage dans le temps de Simon Barry qui met en scène Kiera Cameron, une policière de 2077, propulsée à notre époque en même temps qu’un groupe de révolutionnaires qui comptent bien changer l’histoire.
Parue dans un seul volume avec Legion, The Emperor’s Soul est une autre nouvelle – une novella, pour être précis – de Brandon Sanderson, très différente du précédent, puisque se déroulant dans un contexte fantastique orientalisant, à la cour de l’empereur d’une nation genre Chine-avec-de-la-magie.
Stephen Leeds, le protagoniste de Legion, novella de Brandon Sanderson, vit seul dans un grand manoir. Seul, avec un majordome. Et aussi, JC, Ivy, Tobias et beaucoup d’autres personnes – à ceci près que ces dernières n’existent pas vraiment: ce sont des hallucinations.
Nexus, la drogue éponyme du roman d’anticipation de Ramez Naam, est un peu plus qu’une simple drogue: un outil pour augmenter les capacités du cerveau, le mettre en réseau avec d’autres utilisateurs de Nexus et même un système d’exploitation neurologique; en résumé, c’est la porte ouverte vers la transhumanité. Et c’est bien là, le problème.
En rédigeant cette chronique du dixième tome des Notes de Boulet, intitulé Le pixel quantique, je m’aperçois que j’ai fait l’impasse sur le neuvième. Et sur pas mal d’autres, également. Bon, ce n’est pas très grave: en règle générale, si c’est Boulet, c’est bien.
Mon épouse, qui connaît – de trop près – mes mauvais goûts, m’a offert, pour mon anniversaire, Deadpool: L’Art de la Guerre, une courte BD sur le Mercenaire à Grande Gueule et sur Sun Tzu. Brièvement, pour ce dernier.
Tu es jeune, tu aimes la littérature de jeune, avec ses hachetagues et ses personnages gènedeurcouire? Tu vas quifer #MonOrchide, le deuxième tome du cycle des NoéNautes, signé de Pouhiou! Quoi, j’en fais trop? C’est pas de ma faute, c’est lui qui a commencé!
Opération rattrapage de film, deuxième session, avec Mad Max: Fury Road. Disons que c’est un film que je serais peut-être allé voir au ciné si mes proches avaient insisté, mais un peu personne n’avait envie de le voir. Dans l’absolu, n’ayant été fan de la série – je n’ai vu que le troisième, c’est dire – je n’ai pas vraiment insisté non plus.
James, Élise et Jorg sont un trio d’arnaqueurs dans la ville de Nowy Krakow, vivotant de petits expédients, jusqu’à ce qu’un mystérieux commanditaire leur proposent un coup unique – et dangereux. C’est le point de départ de La Stratégie des As, roman de fantasy/steampunk de Damien Snyers.
Et hop! Une troisième saison pour Agents of SHIELD, la série de l’univers cinématique Marvel qui, en se focalisant sur le pendant humain des Avengers, fait le lien entre les divers films. Bon, dans le cas présent, ce n’est pas vraiment le cas et c’est peut-être un peu dommage.
Quand j’ai dis faire du rattrapage sur l’œuvre de Roland C. Wagner, je le fais jusqu’au bout (oui, je sais qu’il m’en reste encore plein à lire, à commencer par les Futurs mystères de Paris)! Acheté en même temps que Rêves de Gloire, Le train de la réalité de Roland C. Wagner est un complément à ce dernier composé de plusieurs textes de longueur variable, entre deux et une vingtaine de pages.
Hop! Je repartage ici un billet de mon « livre de râlaisons« , publié hier. Je ne vous apprendrai rien en disant que Wattpad, ce n’est pas seulement une plateforme pour balancer ses textes, mais aussi un endroit où on peut lire.
Depuis le temps qu’on m’en parle, j’ai fini par lire Rêves de Gloire, le roman de Roland C. Wagner que beaucoup considèrent comme son « Grand-œuvre ». Il est vrai qu’avec ses huit cents pages en version poche, le bouquin se pose un peu là! Paru en 2011, c’est aussi, hélas, son dernier roman.
Y’a-t-il de la vie dans l’univers ailleurs que sur notre planète? C’est autour de cette question que s’articule L’Exoconférence, le nouveau spectacle d’Alexandre Astier. Comme son nom l’indique, c’est une conférence; et, comme son auteur l’indique, c’est une conférence qui va quelque peu partir en vrille.
De retour d’urgence d’une mission diplomatique, le professeur Dominique « Mo » O’Brien découvre chez elle une vampire, qui se trouve également être une ex de son mari. La situation devient encore plus complexe quand son violon maudit s’en mêle, au point que le mari en question – qui n’a honnêtement pas grand-chose à se reprocher – doit lancer des imprécations en énochien ancien pour que tout le monde se calme.
Celui-là, j’ai failli le rater: pour des raisons qui m’échappent, Opération Aiglon, le troisième et dernier tome de la série Spynest est sorti il y a presque un an (en mars 2015) et si je ne l’avais pas vue en passant dans une librairie française, je l’aurais complètement zappé. Ce qui eut été dommage.
Double passage obligé du geek blogueur contemporain: je suis donc allé voir The Force Awakens, le nouvel opus de la saga Star Wars, et me voici donc à écrire un billet là-dessus. Histoire de rendre les choses un peu plus amusantes, je vais essayer de faire en sorte de ne rien à dévoiler de l’intrigue et des surprises d’icelles.
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