Jim est un de ces héros – pardon, « protagoniste » – de roman qui n’a pas de bol. Genre, il meurt avant le premier chapitre de ce Mogworld, signé par Ben « Yahtzee » Croshaw. Je vous rassure, il revient ensuite; je dirais bien « il meurt, mais après il va mieux », sauf que, de son point de vue, ce n’est pas mieux. Il n’a même qu’une envie: mourir définitivement.
Ceux qui lisent ce blog depuis un moment risquent, à la lecture du titre, de se demander si leur tonton Alias préféré (car unique) a finalement sombré dans l’Alzheimer profond et commencé à rechroniquer ses vieux billets. Rassurez-vous, ce titre – 1940 – Et si la France avait continué la guerre? – s’applique à la nouvelle bande dessinée uchronique de Jean-Pierre Pécau, inspirée par la fameuse Fantasque Time Line, dont le premier tome vient de sortir.
Théo Sinclair est mort, mais dans Les Grandes Profondeurs, ce deuxième tome de L’Œil de la Nuit, il va mieux. En fait, entre ses pouvoirs de vision nocturne et son cœur artificiel, c’est Daredevil et Iron Man en une seule personne et avec cinquante ans d’avance.
Troisième partie de la trilogie « Oméga », Le Crépuscule des Damnés est également le vingt-et-unième tome de la bande dessinée uchronique Jour J, scénarisée par Jean-Pierre Pécau et Fred Duval, avec une fois de plus Maza au dessin.
OK, j’ai un peu de retard sur les Laundry Files, puisque je n’ai lu que maintenant The Rhesus Chart, cinquième roman de la série de Charles Stross mettant en scène une administration britannique en charge de la lutte contre les abominations tentaculaires et autres créatures surnaturelles.
En cette fin d’année 1993, la Troisième Guerre mondiale n’a jamais été si proche: Gorbatchev a été poussé à la démission, remplacé par un président « ligne dure », obsédé par Berlin-Ouest, et en Allemagne de l’Est, la jeunesse – encore traumatisée par la répression brutale des mouvements des droits civiques en 1989 – se prépare au pire.
Ces temps-ci, je me suis lancé dans la lecture sur Wattpad et, après le très bon One Minute, je me suis attaqué – entre autres – au #Smartarded de Pouhiou, premier tome du cycle des NoéNautes.
On est en mai 1968, à Paris. Antoine, Brigitte, Adèle et les autres sont jeunes, ils ont la rage, et ils ont aussi des pouvoirs extraordinaires: ce sont les protagonistes de La République des Enragés, de Xavier Bruce.
Il est 15 h 45 à Washington, 21 h 45 à Paris, 12 h 45 à Mountain View, 5 h 45 au Japon. One Minute, le feuilleton numérique de Thierry Crouzet, c’est l’histoire de cette minute précise. Celle où la vidéoblogueuse Sara Cash a annoncé que les radio-télescopes de la planète avaient capté un message extra-terrestre. Juste avant qu’une panne électrique ne plonge la planète dans le noir complet.
C’est un peu par hasard que Jumper, roman « jeune-adulte » de Steven Gould, a atterri dans ma pile de lecture. Je l’ai acheté en numérique dans le cadre d’un Humble Bundle il y a quelque temps déjà et j’ai fini par l’ouvrir après avoir terminé Le Vaisseau ardent.
Autant j’avais bien apprécié le premier tome du Vaisseau ardent, de Jean-Claude Marguerite, autant j’ai eu plus de difficultés avec cette deuxième partie, intitulée La Rédemption du pirate.
Après une excellente première saison, la série américano-britannique Penny Dreadful revient pour une deuxième dose d’horreur gothique dans un Londres victorien du plus bel effet. Retour gagnant? Oui et non.
Il faut reconnaître à Charles Stross un certain génie pour trouver des idées originales en SF et de construire des univers bluffants là-dessus. Témoin un de ses derniers romans, Neptune’s Brood, qui allie transhumanisme, hard-science et économie interstellaire.
Oui, cette chronique parle du premier jeu vidéo Borderlands, celui sorti en 2009. Comme je suis quelqu’un d’ordonné et de méthodique, je les ai joué dans un ordre bien particulier, déterminé par une raison et une logique très précise.
Eh bien non, malgré tout le mal que j’ai pu en dire, je n’ai pas abandonné Wunderwaffen, la série de bande dessinée uchronique. Il faut dire qu’elle a beau être truffée de défauts, d’un point de vue d’historien, elle dépote quand même pas mal. D’ailleurs, ce septième tome, intitulé Amerika Bomber, comporte une gigantesque bataille aéronavale sur près des deux-tiers de sa longueur.
Le premier tome à peine refroidi, voici que la série Warship Jolly Roger de Miki Montlló (dessin) et Sylvain Runberg (scénario) remet le couvert, avec un deuxième tome intitulé « Déflagrations » qui confirme les impressions, bonnes comme mauvaises, que j’avais eues.
Ça fait un moment que j’essaye de me faire une culture Roland C. Wagner en lisant un peu tout ce qui me tombe sous la main. Parfois, c’est sympa; d’autre fois, moins, et Aventuriers des étoiles tombe plutôt dans la seconde catégorie.
Disons-le d’entrée: Dragon Rouge, vingtième tome de la série uchronique Jour J, ne va pas trop se démarquer des histoires impliquant la France et/ou les USA, puisqu’en guise de point de divergence, on a un bombardement nucléaire américain pour briser le siège de Diên Biên Phu.
Quand on parle de la Roumanie et des créatures mythiques, ce sont rarement les loups-garous qui viennent en premier à l’esprit. Pourtant, c’est dans ce pays que Lilian Peschet a décidé de situer son roman La Brigade des Loups.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑