J’ai passé outre mon aversion habituelle pour les médias non-écrits et j’ai visionné la toute récente présentation de Charles Stross au 34e Chaos Communication Congress, intitulée Dude, you broke the future – tout un programme!
À quatre jours de Noël, catastrophe: tous les lutins du Père Noël tombent malade et Santa Claus doit sauter dans son traîneau et faire un “rapide aller-retour” sur Terre pour en ramener 92 000 tubes de vitamine C. Ainsi commence Santa & Cie, le film de Noël d’Alain Chabat.
Huitième épisode de la saga Star Wars, The Last Jedi est sorti il y a moins de deux semaines et je dois être un des derniers parmi mes contacts à l’avoir vu. Autant dire que la survie sur les réseaux sociaux en évitant les spoilers a été quelque peu rude, mais ça en valait la peine.
Jerry Beche est le dernier homme vivant sur une Terre dévastée par une arme biologique. Un jour, alors qu’il va vérifier ses éoliennes, il remarque des traces de bottes dans la neige. Ce début de Extinction Game, de Gary Gibson, est tellement un cliché que même le protagoniste le note. La suite de ce roman, par contre, est nettement moins banale.
Dans un avenir mal défini, mais définitivement cyberpunk et déglingué, Kal vivote de petits boulots à la légalité discutable: piratage informatique, intrusion, intimidation, tout ce qui peut lui rapporter de quoi payer bouffe et médocs. Et, quand son esprit vagabonde, il “commute”, se projetant dans un univers virtuel de fantasy. C’est le point de départ de Les Commutants, roman de Nicolas Alucq.
Alexandra Milael Noble, baronne par naissance et aventurière par peur de l’ennui, se retrouve à affronter les derniers avatars mécaniques de l’inventeur fou qu’elle avait tué jadis. C’est, en une phrase, le résumé de ce court roman Les Sempiternels d’Aude Reco.
Steven Wilson l’avoue lui-même à demi-mots: To the Bone, son nouvel album, est un exercice de style. Un album pop pour un des grands noms du prog, inspiré par les glorieux prédécesseurs des années 1980 – au premier rang desquels le So de Peter Gabriel.
Quelque part, j’ai eu du nez de changer le titre de cette série de billets mensuels, de “bilan Flattr” à “bilan mécénat“. Parce que, sur Flattr, le bilan de ce mois de novembre est de zéro, nada, ballepeau, macache, walou! En matière de revenus, tout au moins.
Dans le genre annus horribilis, 2016 se pose un peu là, d’autant plus pour Mariusz Duda, bassiste et chanteur de Riverside et à l’origine du projet Lunatic Soul, dont ce Fractured est le dernier opus en date.
Il est rare que je vous parle de magazines et si ce hors-série de Guerres & Histoire intitulé Et si… ça s’était passé autrement? a attiré mon attention, c’est parce que c’est un titre “grand public” (une des revues du groupe Science & Vie) qui parle d’uchronie.
Riche idée qu’a eue là l’AMDA, l’association des Amis de la Maison d’Ailleurs, qui ont organisé à Genève une projection du documentaire Jodorowsky’s Dune, en présence de son réalisateur, l’Américain Frank Pavich!
Et si, dans un avenir proche, la Terre recevait un message extraterrestre et que ce message remettait en cause de façon fondamentale le concept de sapience et de civilisation? C’est, dans les grandes lignes, le principal de Existence, gros roman de David Brin.
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