Dublin en clair-obscur

Cet article est le numéro 2 d'une série de 4 intitulée Irlande 2011

Ce qu’il y a de bien à Dublin, c’est qu’il n’y a pas besoin de faire beaucoup de chemin pour être complètement dépaysé. Des fois même, en fonction de la météo, il n’y a pas besoin de bouger pour passer en quelques minutes de la chaude journée d’été aux frimas hivernaux sous une pluie battante.

On avait été prévenus et Sinead, l’une de nos deux guides autochtones (Eric, précédemment cité, étant le second), nous l’a confirmé: l’Irlande a deux saisons – l’hiver et l’après-midi du 15 juillet.

Au niveau des paysages, c’est aussi très varié – oh, pas au point de Montréal, mais on oscille très vite entre les vieilles pierres et les bâtiments en verre, les églises et les centres commerciaux, le traditionnel et le multiculturel. Quand ce n’est pas tout à la fois, comme cette galerie marchande construite dans un ancien ensemble d’habitation en brique rouge.

Le gros défaut, c’est que très rapidement, on a les papattes qui crient “au secours!” et on se voit obligé d’interrompre les sorties culturelles (bon, d’accord: le shopping d’Isa) pour cause de problèmes techniques. Mais bon, on est aussi en vacances pour se détendre, pas pour se détruire la santé. Ce sera déjà beau si on rentre sans rhume.

Pour ceux qui aiment le flou, les artefacts JPEG et les cadrages ratés, ma galerie d’images est comme d’habitude sur Flickr.

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