Le restes du samedi: Alustrium, Muse, Promethee, Seylig Oya

J’inaugure ici une nouvelle rubrique, de parution probablement très irrégulière, puisque ça parle de ce que j’ai écouté (ou lu, ou regardé, mais cet épisode concerne seulement la musique), mais que je n’ai pas chroniqué, faute d’intérêt.

Disons les choses ainsi: ce sont des choses qui entrent dans la catégorie “ce n’est pas que c’est mauvais, c’est que je n’aime pas” (ou, en résumé, “ce n’est pas toi, c’est moi”).

À commencer par Alustrium et son album A Tunnel to Eden, qui m’a été vendu par Angry Metal Guy comme du death-metal progressif, mais je n’y ai entendu que du death-metal tout court. Comme ce n’est pas exactement mon genre préféré, si on n’y met pas une bonne dose de mélodique et/ou de prog, je n’ai pas été enthousiasmé.

L’album est à l’écoute sur Bandcamp.

Je pourrais dire à peu près la même chose de Unrest, du groupe genevois Promethee (sans accent, même genevois). Il mélange death et djent, mais qui peine à enthousiasmer mon p’tit cœur de prog-head. J’ai acheté l’album parce qu’ils sont ce soir même en première partie d’Eluveitie, mais ce n’est pas eux que j’irai écouter.

Le groupe a une page sur Bandcamp, mais pas le dernier album; la vidéo de “Broken Structure” est visible sur YouTube.

En parlant de prog, Saelig Oya est un groupe français dont le dernier album, Chaos-Chaos a fait pas mal parler de lui dans la progosphère française. À l’écoute, j’ai un peu trop l’impression d’écouter un groupe du début des années 1990, avec une chanteuse qui rappelle Maiko de Arrakis, mais qui – comme souvent en prog français – a du mal à ne pas en faire trop.

Vous pouvez écouter Chaos-Chaos sur Bandcamp; il est aussi disponible à prix libre sous licence Creative Commons.

Enfin, Drone, le dernier album de Muse, propose du Muse. Qui est surpris? Fondamentalement, Muse est un peu le Queen de cette dernière décennie, avec des morceaux plutôt sympathiques, souvent desservis par une tendance à la théâtralité, i.e en faire des tonnes. Et des parties enregistrées casse-couille, principalement parce que je n’aime pas l’armée en général et l’archétype du sergent instructeur en particulier.

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2 réflexions au sujet de “Le restes du samedi: Alustrium, Muse, Promethee, Seylig Oya”

  1. Bonne idée, ce genre de billets : ça peut permettre à ceux qui connaissent tes goûts mais n’ont pas tout à fait les mêmes de découvrir des choses qui les intéresseront parmi ce qui ne t’a pas enthousiasmé. 🙂

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    • Oui, c’est l’idée; et puis c’est aussi l’occasion d’expliquer pourquoi j’aurais dû aimer (après tout, j’ai acheté), mais en fait non.

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