Projets d’écriture : petit point (mort)
La mise en abyme du jour: parler des projets d’écriture qui n’avancent pas pour pallier à un manque de sujet pour le blog. Vis ma vie d’auteur maudit.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
La mise en abyme du jour: parler des projets d’écriture qui n’avancent pas pour pallier à un manque de sujet pour le blog. Vis ma vie d’auteur maudit.
Ce week-end, c’était la convention Rôl’Event. À l’invitation du Studio 4D2, j’y ai présenté en direct une partie de Freaks’ Squeele.
La convention La Tête dans la Lune est une de mes frustrations ludiques de ces dernières années, car tombant en même temps que celle du Dé qu’à Dents.
Une sinistre malédiction pèse sur la convention Octogônes: le dimanche, il pleut. Cette édition 2019 de la grande convention de jeux lyonnaise n’a pas fait exception, mais c’est le principal défaut qu’on peut lui trouver. Le fait qu’on finisse sur les rotules ne compte pas: c’est comme ça à toutes les conventions.
Bon, faut quand même que je vous raconte ma virée en Auvergne, la « retraite ludique » dont je vous parlais la semaine passée. À l’origine, l’idée est de Jean-Paul, qui est originaire de la région: il avait appelé ça Le Buron des Joueurs.
« Mon université a été construite sur un terrain plat. La colline féerique est venue plus tard. » Elsewhere University est une école qui, soudainement, s’est retrouvée avec une population de fées et de créatures magiques.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après la très grande Trolls & Légendes, la grande et locale Orc’idée, me voici invité pour la deuxième Journée des mondes oniriques, à Charleville-Mézières.
En l’an de grâce deux mille et dix-neuf, qu’il soit connu que, sis en les locaux de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, dans les territoires helvètes, se tint la grande réunion ludique, dite Orc’idée, sous le haut patronage de Son Éminence la Cardinale.
À l’heure où j’écris ces lignes, on est lundi matin, je suis dans un vieux train régional quelque part dans le nord de la France, j’ai mal aux pieds et quelques restes de gueule de bois et, malgré tout, une certaine forme d’euphorie: pas de doute, c’est un lendemain de Trolls & Légendes.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Comme le temps passe vite: déjà la dixième édition de Ludesco, la convention qui, le temps d’un (gros) week-end, transforme la cité neuchâteloise de La Chaux-de-Fonds en salle de jeux géante.
Il est samedi matin, je prends le train pour Monthey – proverbiale terre de mes ancêtres – et la Convention du Dé qu’a dents, le club de jeux chablaisien. Si vous avez lu le live report d’hier, vous aurez complété: “je prends le train à Aarau”. Un petit détour, mais ça en valait (sans jeu de mot) la peine.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Salins-les-Bains, vous connaissez? Moi non plus. Enfin, jusqu’à ce samedi et ma présence aux Journées du Livre à la médiathèque de cette petite ville du Jura français. J’y étais invité pour présenter le jeu de rôle Freaks’ Squeele: faire des parties, mais pas seulement.
La troisième convention de ce mois de mars m’emmène, non pas en Belgique, mais pas loin: Lille, pour l’édition 2018 de Ludinord. Ludinord, c’est un festival de jeux multi-genres – un peu comme Ludesco, mais à l’échelle d’une grosse région transfrontalière. Du coup, l’affluence sur les trois jours est de l’ordre de 10 000 personnes.
J’ai coutume de dire que la convention de La Horde est “la convention en bas de chez moi”. Pour cette édition 2018, même si dans l’intervalle j’ai déménagé un chouïa plus loin, j’ai décidé de faire vivre ce slogan en y allant en vélo. Huit kilomètres, ça réveille! Bon, pour ça, j’ai quand même attendu qu’il s’arrête de pleuvoir; faut pas pousser, non plus.
Back to Cannes! Après une année de pause pour cause de “pas vraiment de chose à dire/montrer/faire” (et, si mes souvenirs sont bons, d’un peu trop de choses à la suite, genre Orc’Idée et Japan Impact), ma dame et moi avons repris le chemin de Cannes et de son Festival international des jeux.
Camarades ludistes, le dernier congrès de notre Internationale a eu lieu à la Maison du Peuple de Monthey, en République socialiste du Valaisistan, et j’ai eu l’honneur d’y représenter les camarades du kolkhoze 2d Sans Faces et ses fières productions!
Bon, donc, c’était la convention annuelle du Dé qu’a dents et c’était cool.
Bon, il est une heure du matin et mon cerveau refuse de s’endormir: je vais prendre ça comme un signe qu’il est temps que j’écrive ce billet sur la soirée Freaks’ Squeele au Dernier Bar avant la Fin du Monde, à Paris.
Aller aux Utopiales, quand on est geek tendance SF et autres mondes de l’imaginaire, c’est un peu achievement unlocked! Enfin, pour moi, en tout cas.