Quatrième et dernier épisode du défi RPGaDay 2017. Comme annoncé précédemment, j’ai compilé ici les dix dernières questions, histoire de ne pas avoir un misérable chapitre à trois questions. Ça s’appelle terminer en apothéose; blogueur, c’est un métier!
J’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. OK, c’est la même: les seventies sont redevenues à la mode. C’est en tout cas la conclusion à laquelle j’arrive avec pas mal de mes dernières écoutes et notamment ce Trippin’ with Dr Faustus du groupe de rock progressif britannique Amplifier.
En me relançant dans le projet Erdorin – plus précisément Erdorin:2300, né Tigres Volants – je suis retombé sur un article où je parlais des principes du jeu. Ce texte en est un développement, où je regroupe tous ces différents points en trois principes qui me semblent importants.
Je préfère vous prévenir tout de suite: mon avis sur Valerian and the City of a Thousand Planets, le film de Luc Besson tiré des aventures de Valérian et Laureline, est mitigé. Par “mitigé”, j’entends qu’il y a du bon et du moins bon et que, souvent, même dans le très bon, il y a du mauvais, et réciproquement. Ce “mitigé” n’est donc pas un euphémisme pour “toupourri”. Mais ça a failli.
Aujourd’hui, je pose cette petite chronique sur Surveillance://, livre-guide de Tristan Nitot sur le pistage corporatiste et étatique des utilisateurs sur Internet (entre autre), mais c’est un bouquin que j’ai lu il y a plus d’un mois – lors de mon voyage à Paris pour la Japan Expo, pour être précis.
On continue dans la troisième semaine du RPGaDay, avec des questions évidentes et d’autres beaucoup moins.
Il y a quelques semaines, j’avais écrit un article sur le danger à parler de nazis pour tout et n’importe quoi. Depuis, il y a eu Charlottesville. Je pense qu’on peut être d’accord que des zozos qui se baladent avec des brassards à croix gammée, qui hurlent des slogans antisémites et qui font des saluts le bras tendu entrent sans conteste dans la catégorie “nazis”. Et, d’ailleurs, Mike Godwin, l’inventeur du point du même métal, est de cet avis.
En ce mois de juillet 2017, ce bilan mécénat mensuel affiche de nouveau des changements – mais pas forcément en bien. Je ne sais pas si c’est à cause d’une fausse manœuvre de ma part, à cause des changements dans la plomberie de Flattr ou une combinaison des deux – ou une conspiration de reptiliens franc-maçons de la face cachée de la Lune – mais la partie recevoir des dons de mon compte Flattr n’affiche plus rien.
Le rock progressif est un genre qui a produit son lot de supergroupes – il est même possible qu’il soit à l’origine du terme. Lonely Robot est un de ces projets “all-stars” qui ont fleuri ces dernières années, projet que je découvre avec ce nouvel album The Big Dream.
La deuxième semaine du défi RPGaDay 2017 est passée, il est donc temps pour moi de vous livrer mes réponses. Celles-ci sont un peu plus difficiles que les précédentes, parce qu’elle sont encore éloignées de ma pratique habituelle du jeu de rôle. Mais bon, c’est aussi l’occasion de sortir quelque peu des sentiers battus.
Bonjour, je suis Alias et j’ai souvent des idées débiles. Comme tout le monde, en fait, sauf que moi, je les publie sur mon blog. La dernière en date consisterait à mettre en place un “Atelier du jeu de rôle” avec des ressources pour les gens qui veulent créer leur jeu (ou des bouts de jeu, genre scénario ou suppléments).
J’avoue qu’avant d’écouter Seven, le nouvel (et septième) album du groupe italien The Watch, je me préparais déjà psychologiquement à railler un manque d’originalité qui allait jusqu’au titre de cet opus. Après écoute, je suis moins enclin à la méchanceté.
Et zoupla! C’est parti pour RPGaDay, le défi des questions-réponses sur le jeu de rôle, version 2017. Voici donc ma première fournée de réponses
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