Aujourd’hui – enfin, ce soir – ça fera deux semaines que je me suis luxé l’épaule. J’en ai encore pour une bonne semaine avec le bras en écharpe. Sans surprise, c’est chiant, c’est handicapant – et un peu douloureux, aussi. Par contre, je n’avais pas prévu que ce serait démotivant.
Psychée étant un petit peu fatiguée ces temps-ci, elle ne dessine plus beaucoup. Elle se contente juste d’écrire le troisième tome des Chants de Loss, finaliser le jeu de rôle qui en est tiré et, accessoirement, reprendre la rédaction de Héritages, son feuilleton dans l’univers d’alt-Erdorin.
S’il fallait une mesure pour estimer la distance parcourue par le groupe anglais Anathema de ses débuts doom à aujourd’hui, le titre de leur nouvel album, The Optimist, serait un bon indice.
Posons tout de suite les choses avant de parler de cette première saison de la série American Gods: non, je n’ai pas lu bouquin, oui, je sais que c’est du Neil Gaiman, et oui, je vais sans doute le faire un de ces quatre. Ok, c’est bon?
Oui, je sais, je suis tout cassé, je ne devrais pas aller faire le zazou dans les concerts. Mais putain, c’est Yes! Yes qui passe à Genève! De mon vivant! Enfin, Yes feat. Jon Anderson Trevor Rabin & Rick Wakeman, ce qui est quand même un beau casting. Et, quand je dis Genève, c’est au festival Guitare en Scène de Saint-Julien en Genevois, à quinze bornes du centre.
L’homme le plus schizophrène du monde est de retour; ensemble, ils combattent le crime! C’est ainsi qu’un esprit taquin(= moi) pourrait résumer Legion: Skin Deep, deuxième novelette de Brandon Sanderson mettant en scène Stephen Leeds et toute sa fine équipe face à des mystères improbables. Équipe qui n’existe que dans sa tête – en théorie.
Il y a des groupes qui surgissent sur mon progdar comme venus de nulle part (ou de Progarchives). Dans le cas présent, Eternal Wanderers est un projet russe, né de la créativité des sœurs Kanevskaya, et The Mystery of the Cosmic Sorrow est un concept album, leur troisième (ou quatrième).
Il y a quelques années, je vous avais parlé de la BD américaine signée Brian Wood, The Massive, une sorte de post-apo climatique qui suivait les membres de Ninth Wave, une organisation environnementale, à la recherche de leur vaisseau-amiral dans un monde ravagé par les changements climatiques.
Ça fait un petit moment que je me méfie des peuples nordiques: ils sont capables de faire les trucs les plus barrés en matière de musique, du genre croiser jazz et black-metal, produire du rock progressif plus classique que classique ou, au contraire, innover sur ce point, comme le fait le groupe islandais Agent Fresco avec son album Destrier.
Si vous suivez mon activité sur les réseaux sociaux, notamment sur celui qui évoque une activité zoophile SM, vous avez appris la nouvelle de ma chute dans les escaliers, dans des circonstances qui impliquent un chat, une batterie de vélo, un pack de bières artisanales et un excès d’enthousiasme dû au week-end.
Histoire de fêter dignement le 14 juillet, je vais vous parler d’un truc français. J’ai souvent tendance à dire que “à la française” est un synonyme de “en moins bon”. Il y a des exceptions, mais, comme je me souviens de quelques abominations des années 1980, les films d’animation figuraient encore en bonne place dans cette catégorie. Mais, là encore, les choses changent et Le Grand méchant renard est une bonne surprise.
Après plusieurs mois d’inactivité – ou, à tout le moins, d’activité ralentie – le bilan mécénat pour le mois de juin 2017 reflète quelques changements. À commencer par la réactivation de mon Tipeee Erdorin, remanié pour inclure tout le travail autour de Tigres Volants/Erdorin:2300 et ce présent blog (ce qui, je vous l’accorde, est un chouïa capillotracté).
Jack Wolfgang est un critique littéraire renommé, dont les articles paraissent dans le Times et le New Yorker. Le voici dans un bar, occupé à séduire fille d’un magnat de l’agro-alimentaire, dans le cadre de son autre travail: agent de la CIA. Ah, et Jack Wolfgang est un loup.
À l’origine, il y avait un Plan Génial: retourner à la Japan Expo pour y faire des démos de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures.
Repéré par Neoprog, je dois avouer que la première impression que m’a laissé le premier album d’Audio’m n’est pas exactement positive. Comme quoi il faut se méfier des premières impressions.
Dans la première saison de Dark Matter, on avait six personnages amnésiques à bord d’un vaisseau qui, au fil des péripéties, retrouvaient des bribes de leur passé pour finalement convenir que leurs anciennes personnalités n’étaient pas des gens fréquentables – y compris par eux-mêmes.
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